De nombreux monsois se seront certainement demandés quelle était l'origine de la panne de courant qui a affecté une grande partie de la ville matin.

Orage... O vieillesse ennemie ?

Le lecteur pardonnera, espérons-le, cette citation tout à fait approximative...

Après le très violent orage intervenu un peu plus tôt danas la matinée, on craignait une panne de courant, somme toute classique dans ce genre d'épisode météorologique.

Mais celle-ci est intervenue sensiblement plus tard, alors que l'orage était déjà passé. C'est le transformateur 20 000 V du secteur Pierre Curie qui en est à l'origine. Alors, orage, inondation, vetusté de l'installation, la cause n'est pas encore officiellement connue.

Ce qui est certain c'est que les secours n'ont relevé sur le site aucune trace d'effraction, ce qui semble fort heureusement écarter l'hypothèse d'un acte de malveillance.

Vous l'aurez deviné, il ne s'agit pas ici d'un sujet politique, l'actualité est calme... mais Mons en Baroeul peut se vanter d'avoir parmi ses "gloires locales", un certain Thomas Boursier, qui n'est autre que le gagnant de l'émission "Le Meilleur Patissier" diffusée il y a quelques mois sur M6.

Esprit d'initiative

S'il a les honneurs de ce blog, c'est à l'occasion de sa venue aux s du baroeul, le 21 juillet 2013. Il y animera en effet un atelier patisserie et pourra donner un aperçu de son immense talent. Venez découvrir une personnalité attachante, qui place haut les valeurs du travail bien fait, sans pour autant attraper "la grosse tête" !

Nous devons à la sagacité d'un fidèle lecteur du blog de l'irréductible Monsois cette perle retrouvée dans le site de la section monsoise du Parti Socialiste.

Vous avez bien lu, "A Mons, nous sommes tous des militants qui [...] partageons la même aspiration à combattre l’injustice provoquée par les politiques mises en œuvre aujourd’hui par le Gouvernement." Tout un programme...

Bon, résumons, les socialistes luttent contre les injustices mise en oeuvre par le gouvernement socialiste ?
Y'a un truc qui m'échappe !

Ou bien ils ne savent pas encore que le gouvernement est socialiste, le président "normal" et le pays au bord du gouffre ?

La mise à jour du blog du PS local semble en tout cas aussi difficile à réaliser que la mise à jour des idées de nos gouvernants au niveau national ! C'est pas gagné...

Témoignez pour faire progresser vos idées

Vous êtes témoin d'un événement monsois, vous souhaitez faire partager une information dans le blog de l'opposition ? contactez-nous, la rédaction du blog vous répond rapidement.

Mais que se passe-t-il donc à Mons-en-Baroeul ?

L'actualité sur le front de la sécurité publique est sombre et il ne se passe pas de semaine sans braquage de commerces, sans manifestations d'incivilités ou agressions de toutes sortes...

Une équipe municipale totalement impuissante

La mairie de Mons, comme à son habitude, estime faire le nécessaire et cherche ailleurs les responsabilités...

Sans minimiser les carences de moyens constatées au niveau de la police nationale, sans parler même de la désastreuse politique pronée par la garde des sceaux, votre opposition municipale en appelle à une véritable mobilisation des moyens monsois en faveur de la sécurité.

Vidéo protection, enfin ?

Après l'avoir très longtemps refusée, le maire annonce qu'il va enfin mettre en oeuvre la vidéoprotection que nous réclamons depuis des années... il est vrai qu'on sera bientôt en année électorale et que ce type d'annonce est de nature à calmer les esprits. Mais sur le terrain, rien de concret !

Nous réclamons la mise en oeuvre de moyens techniques de meilleure qualité pour notre police municipale, bien souvent obligée de rester spectatrice, faute de moyens d'actions réellement efficaces.

Lire l'article paru dans La Voix du Nord du 30 mai 2013

Cette fois-ci, c'est vraiment vrai, elle ouvre ! les nouveaux aménagements de la piscine pourront enfin être découverts par les monsoises et les monsois dés le 21 mai et l'inauguration officielle aura lieu le 25 mai. Espérons que le résultat sera à la hauteur des espérances et que le budget municipal consacré à ces nouveaux aménagements aura été "bien utilisé".

Week-end festif

Ouverture spéciale les 25 et 26 mai avec de nombreuses animations... allez y faire un tour et venez paratager votre avis sur le blog !

L'enseigne Lidl attire bien des convoitises... deux braquages à une semaine de distance, voilà qui pourrait bien devenir une sorte de record dans les annales de l'enseigne !

Malheureusement les faits ne prêtent pas à sourire et les traumatismes subis par les clients et les membres du personnel sont bien réels.

On s'interroge sur l'apparente facilité avec laquelle opèrent les malfrats car les deux attaques ont eu lieu en pleine journée. Une réaction proportionnée des forces de l'ordre et des responsables politiques en place serait pour le moins appréciée.

Difficile de rater les affiches qui annoncent, sine die, la réouverture de la piscine municipale... ce devait être le 13 mai, et pour cause de quelques interventions techniques à effectuer, ce sera le 21 mai.

Pour le moment, elle attend toujours sa piscine...

Le devenir de l'ancienne maison des pères oblats de la rue du Baroeul semble se dessiner de façon plus précise.

La mise en vente de la maison avait ému les riverains qui s'inquiétaient de la future destination de la maison et de sa "grotte de Lourdes".

Petite enfance

Un début de réponse a été fourni par les nouveaux acquéreurs (monsois) de la bâtisse qui indiquent leur intention de garder intacte et accessible au public cette dépendance et réaffecter la maison à un usage d'accueil pour la petite enfance. Une initiative privée qu'il convient d'encourager !

Lire l'article dans La Voix du Nord

L'URM propose à toutes les monsoises et tous les monsois de s'exprimer sur leur ville et sur leurs attentes. Pour cela un questionnaire est en cours de distribution dans les boites aux lettres.

Donnez-nous vos avis, vos envies, vos suggestions, elles alimenteront notre réflexion sur le projet 2014.

>>> télécharger le questionnaire

La ville bouge et les visites de chantiers permettent de se rendre compte de visu des changements en cours. La prochaine visite aura lieu le 23 mars à partir de 9 heures.

La sélection de photos ci-dessous présente quelques sites de travaux monsois parmi les plus marquants de la période. Saurez-vous les reconnaître ?

Réponses page suivante...

On trouve parfois dans la presse quotidienne* des pépites qu'il est intéressant de relever :

"Il y aura au moins 2000 nouveaux logements avec des espaces collectifs au pied des résidences, a annoncé Martine Aubry. Nous voulons en faire un quartier créatif, à coté de l'Institut Pasteur, avec des lieux qui accueilleront des entreprises spécialisées dans le domaine de la connaissance."

Ah bon ? on pourrait donc créer des quartiers en pensant à y laisser une place pour l'entreprise ? et dans une ville de gauche ? Il serait temps que les élus monsois de la majorité aillent voir de ce coté là...

*20 minutes, édition de Lille, le 18 mars 2013.

La désomrais célèbre dictée monsoise, neuvième du nom, s'est tenu hier à la salle Pierre et Marie Curie.

Salut l'artiste

Pour les trente ans de sa disparition, la dictée était consacrée à Louis de Funés, artiste inter-générationnel resté célèbre dans toutes les mémoires autant par sa grande vadrouille que par son Rabbi Jacob ou encore ses inénarrables gendarmes...

Le texte intégral

"Trente ans déjà que Louis nous fait défaut... Que ne résonnent plus à nos tympans ses brusques algarades, ses tonitruantes colères, ses anathèmes passionnés... Que le cliquetis de l'or, indécente mais fascinante cataracte, ne nous tient plus lieu de réveille-matin... Que le grand orchestre de l'Opéra s'est tu, à jamais orphelin de son tempétueux et tatillon maestro... Comment faire prendre conscience du néant, du no man's land, du vide abyssal qu'il a laissé derrière lui ? Que diable, aussi, allait-il faire dans cette galère de l'éternité, lui qui, grand seigneur, n'avait jusque-là daigné ramer que pour maintenir à flot son Petit Baigneur !

Gageons que, là-haut, le maréchal des logis-chef se morfond ferme. Dans l'univers aseptisé du paradis, à quels seins se vouer dès lors que ceux de ces satanées nudistes lui ont fait faux bond ? À quels extraterrestres dresser procès-verbal puisque à son grand dam il en fait désormais partie ? À quelles accortes « gendarmettes » faire du gringue, attendu que, selon les ouï-dire et les on-dit, les anges seraient asexués ? Combien, au Tropézien d'adoption, doivent manquer les Maures tant aimés, les yachts ultrachics, les terrasses sympas et hautes en couleur où, dans une effervescence méditerranéenne propre à nous faire oublier la perte de notre triple A, se sirotent alexandra, margarita et caïpirinha !

Il reste à souhaiter que l'ex-poulet se voie proposer, par le maître-coq des champs Élysées, autre chose qu'aile ou cuisse : pour peu que l'ennemi juré de la malbouffe se fût remis de son inopportune agueusie, ne saurait s'accommoder d'une chère aussi triviale celui qui, avant de crécher sur le même palier qu'elles, distribua des étoiles à tour de bras. C'est que ce docteur ès bisbrouilles là, soupe au lait encline à l'ire s'il en fut, aurait tôt fait de semer la zizanie où est censée régner l'ataraxie ! Il serait même capable de faire sa valise s'il ne craignait que ne la suppléât une mallette renfermant les affriolants soutifs de sa bonne... De fait, n'a-t-il pas suffisamment comme ça la tête près du bonnet ?"

Evenement culturel monsois

On doit la dictée aux effort de Mons Promotion Culture et son infatigable animateur Bernard Jumelle. Pour sa part, Bruno Dewaele, égal à lui-même a pu régaler les participants autant par la qualité de son texte que par son humour...

Découvrir le blog de Bruno Dewaele

Le conseil municipal qui s'est tenu ce 14 février aura été un conseil particulièrement studieux. La faute à l'ordre du jour dont le morceau de choix était le "DOB". Parlons français, il s'agit du "débat d'orientation budgétaire" où la majorité aux affaires présente ses projets pour l'année à venir et les moyens qu'elle entend mettre en oeuvre pour les financer.

Dans la continuité de l'ANRU

A Mons-en-Baroeul, peu de changements, la manne de l'état permet toujours à la ville de financer des projets d'envergure dans le nouveau Mons et dessiner un futur centre ville à notre commune. Nous reviendrons sur ce point un peu plus bas.

Les conseillers d'opposition ont comme à leur habitude tenté de faire valoir que d'autres voies sont possibles, que tous les efforts de la ville ne pouvaient pas être dévolus à un unique quartier, et que de nombreuses zones du bas de Mons et même du vieux Mons étaient aujourd'hui nettement à la traine mais comme à son habitude, la majorité en place a balayé d'un revers de main ces différentes remarques. Il faudra en tirer les conclusions qui s'imposent.

Un pôle de centralité

Les termes trop pompeux cachent souvent une certaine vacuité. Nous préferons pour notre part parler de centre ville quitte à paraître un peu terre à terre. L'enjeu est cependant de taille, puisqu'il s'agit de doter enfin la ville d'un vrai coeur de ville, au croisement des avenues Schuman, Sangnier, Adenauer et Coty. Il s'agira de terminer l'oeuvre de Chaumette, l'architecte du Nouveau Mons, en dotant la ville d'un véritable centre.

A nos yeux, un tel lieu doit être un lieu de vie, de rencontres, d'activités culturelles mais aussi économiques, bref, ce qui fait tradition- nellement le coeur de chaque ville, là où les "choses se passent". Le projet présenté par le cabinet d'architectes sélectionné a le mérite de proposer une occupation des lieux audacieuse, avec des immeubles originaux dont la bientôt célèbre "Pépite" dont la presse s'est déjà largement fait écho.

Mais il laisse aussi, à l'examen du plan d'ensemble, une curieuse impression de "trous" plus ou moins bien remplis. Plus grave, et je serais tenté de dire "une nouvelle fois", notre ville s'apprête à rater une occasion de rendez-vous avec le monde de l'entreprise et de l'emploi. Dans les constructions prévues, l'immobilier "de services" est limité à un rez-de-chaussée dans l'immeuble "La Pépite". Et cette fois l'excuse habituelle servie par le maire et consistant à invoquer un "manque de foncier" pour accueillir les entreprises ne peut pas être retenue car, en l'espèce, le foncier, nous l'avions...

Une situation paradoxale

Nous allons bientôt pourvoir vivre dans une ville certes plus accueillante, mieux aménagée, dotée d'une politique culturelle, mais qui restera toujours à la traine de ses voisines dynamiques accueillant les emplois, que ce soit en terme de densité d'entreprise et malheureusement en terme de taux de chômage.

Vos conseillers d'opposition ont une vision différente de l'avenir de la ville et c'est sur ce type de sujet de fond que se creuse la différence entre la majorité et l'opposition municipale...

D'après le Larousse, il s'agirait d'un Parallélépipède rectangle dont les 6 faces sont isométriques... en jargon monsois, il s'agit en réalité d'une nouvelle forme d'affichage publicitaire qui permet au maire de la ville de faire connaître ses futures réalisations à la population. Faut bien communiquer, ma bonne dame !

Visite en live

Faisons le tour dudit cube...

L'emballage est séduisant et nous fait découvrir le futur "pôle de centralité" (en Français, le "centre ville"). On se prend à réver à Mon(s) à Venir. Heureusement qu'il n'ya pas d'esprits mal tournés dans notre ville, ils pourraient s'imaginer qu'on entre en campagne électorale.

Mons et Vous

Revenons au fond du dossier. Pour découvrir plus en détail les projets présentés sur les faces du cube et destinés à constituer notre futur centre ville, il faut ouvrir le "Mons et Vous" n°56 (pages 7 à 10). Le programme est ambitieux, et l'ANRU voulu par Jean-Louis Borloo et Jacques Chirac porte ses fruits. Espérons au final que les réalisations seront à la hauteur.

La cérémonie des voeux organisée par l'URM ce 12 janvier 2013 a entièrement rempli la salle des Franciscaines. Un public varié et attentif, prêt à se mobiliser pour défendre ses valeurs.

Notre président, Jérôme Garcia, après avoir dressé un rapide tableau de la situation politique actuelle et pointé du doigt les nombreuses impasses dans lesquelles les actions gouvernementales nous engagent, a brossé un tableau des mois à venir sous forme d'un plan de campagne. Il n'y a pas de challenge impossible pour ceux qui sauront se donner les moyens et faire preuve de l'enthousiasme indispensable pour faire mieux que "gérer la crise"... Du travail en perspective pour les équipes qui relèveront les défis des 14 mois qui nous séparent de la prochaine échéance électorale !

Avenue Robert Schuman, les travaux de requalification avancent rapidement... pas assez apparemment pour certains utilisateurs !

L'opposition municipale monsoise, par la voix de Jérôme Garcia, est intervenue au conseil municipal du 17 décembre pour expliquer son désaccord sur l'installation du village d'insertion Roms de la rue Corneille. Nous reproduisons ci-dessous le texte de l'intervention, passée sous silence dans le compte rendu de La Voix du Nord.

"En tant qu'élus, nous avons été sollicités par des riverains Monsois de la rue Corneille, au sujet de l'implantation d'un village d'insertion de Roms sur un terrain de la rue Corneille, côté Hellemmes."

"Sur la forme, nous dénonçons l'absence totale d'information et de concertation de la part du maire d'Hellemmes, avant le démarrage des travaux. Après la fronde des riverains, il n'a pas voulu écouter leurs arguments et il a traité les opposants au projet comme il traite son opposition municipale. Nous tenons à cette occasion à condamner l'attitude méprisante de M. Marchand, vis-à-vis de Caroline Boisard-Vannier, conseillère communale UMP d'Hellemmes."

"Sur le fond, nous sommes opposés à la politique de création de villages d'insertion, qui est poursuivie par la communauté urbaine, pour quatre raisons :

• Les villages d'insertion créent un appel d'air puisqu'il créent un espoir. On pense avoir résolu la situation de 5 familles, mais on génère par cette action l'afflux de nouvelles familles en France.
• Cette politique pose également un problème humain et d'égalité : comment sélectionne-t-on les heureux élus qui seront accueillis en village d’insertion, au détriment des autres qu’on laissera végéter dans leur campement-bidonville ? Selon un journaliste de La Voix du Nord de Lille, cette sélection est réalisée sur la base de "la volonté de s'intégrer", ce qui est un critère très flou et subjectif. On crée donc une rupture d'égalité, qui est anticonstitutionnelle.
• Si l'on souhaite aider quelques familles, pourquoi pas ? Mais dans ce cas, il faut qu'elles suivent le parcours d'intégration que tous les immigrés ont suivi depuis des siècles : trouver un logement dans le parc local, trouver un travail, etc.
• L'investissement d'argent public dans ces villages génère un sentiment d'injustice chez les Monsois et les Hellemmois, qui sont frappés par les difficultés économiques et sociales et voient s'abattre sur eux de nouvelles taxes socialistes chaque jour."

"Plus généralement, le choix de Lille Métropole ne pas demander l'évacuation des campements illégaux depuis 2 ans et demi a eu pour résultat de tripler la population d'origine Rom, qui est aujourd'hui de 3000 personnes. C'est Mme Aubry, la présidente de Lille Métropole, qui est responsable de la situation dans laquelle nous nous trouvons aujourd'hui."

"Nos concitoyens doivent avoir conscience que la municipalité de Mons-en-Baroeul n'apportera rien vis-à-vis de la question du village d'insertion d'Hellemmes, puisqu'elle est pieds et poings liés vis-à-vis de Mme Aubry."

"Si la droite et le centre prennent la présidence de Lille Métropole en 2014, à l'issue des élections municipales, nous mettrons en place une nouvelle politique qui mettra un coup d'arrêt aux villages d'insertion et ne permettra plus l'occupation illégale et permanente de terrains métropolitains."

"Au delà du niveau local, agir sur les sources de cet exode par la voie européenne est la piste à privilégier. Le gouvernement précédent a essayé, avec un succès faible. Depuis, la situation s'est aggravée. Nous appelons le Président de la République, François Hollande, à faire acte de fermeté vis-à-vis des gouvernements roumain et bulgare. C'est à ces gouvernement qu'incombe la tâche de fournir à leurs ressortissants les conditions d'une vie décente dans leur propre pays."

"En France, nous avons mis en place depuis des décennies une politique d'intégration des gens du voyage, qui s'est concrétisée entre autres par la réalisation d'aires d'accueil spécialisées, y compris à Mons-en-Baroeul. Aujourd'hui, les gens du voyage font pleinement partie de la communauté nationale. C'est ce type de politique qui doit être mise en œuvre en Europe orientale."

Cela est devenu une habitude, les conseils municipaux ne bénéficient pas du climat serein qui devrait être le leur et le dernier en date, qui s'est tenu ce 17 décembre, n'a pas échappé à la règle. Découvrez les raisons de la colère...

Les faits

Parmi les sujets à l'ordre du jour, de nombreux thèmes emportent sans difficulté l'adhésion. Quand il s'agit de soutenir les restos du coeur ou valider la métamorphose de la galerie Europe, vos conseillers municipaux approuvent. Normal. Sur d'autres sujets, nos positions sont souvent moins favorables et nous regardons à deux fois avant d'accorder notre vote pour des subventions que nous jugeons peu opportunes ou pas du tout en rapport avec leurs apports supposés à la commune.

Il arrive aussi que l'ordre du jour ne permette pas de parler des vrais problèmes... Quand le cas se présente, comme lors de ce conseil, vos conseillers doivent faire preuve d'imagination pour que ces sujets soient tout de même abordés.

C'est ce que F. Bazin, dans La Voix du Nord, présente comme des "détournements de procédure". On appréciera la formule à sa juste mesure, nous assumons notre attitude car nous estimons qu'il est de notre devoir d'aborder tous les sujets, même et surtout quand ils fâchent !

Le dossier du village d'insertion

Les dépôts d'ordures générés chaque mois sur le trottoir de la rue Maxence Vandermeersch scandalisent à juste titre les riverains et il est légitime que nous posions les questions à qui de droit. Ce que nous avons fait. Nous reviendrons rapidement sur ce dossier pour que notre position soit connue de tous et clairement explicitée.

Le projet de loi sur le mariage

Dans une autre déliberation, portant sur une action visant à renforcer "le lien de parentalité", il est légitime de se demander de quelle parentalité nous voulons parler. Là encore, pour éviter que nos propos soient déformés ou totalement passés sous silence comme dans La Voix du Nord, nous vous proposerons très prochainement un billet reprenant in extenso le texte de notre prise de position.

La goutte d'eau qui a fait déborder le vase

Quand la tension monte, les propos échangés ne sont pas toujours amènes, mais il y a une ligne à ne pas franchir, c'est celle de l'insulte publique. Cette ligne a pourtant été franchie par le maire Rudy Elegeest qui s'est fendu, à l'encontre de Jérôme Garcia, et devant témoins, d'un lapidaire "vous êtes un petit facho". La réaction de l'interessé est à la mesure des termes employés et un courriel a été adressé aux services de la mairie pour exiger des excuses (voir page suivante).

Chaque mois, le jour des encombrants, une scène curieuse se reproduit à Mons en Baroeul, rue Maxence Vandermeersch.

Les encombrants mis sur les trottoirs sont minutieusement fouillés triés par des récupérateurs de toutes sortes, comme dans tous les autres quartiers de la ville. On peut le regretter, c'est un fait. En principe, les tas d'encombrants ainsi visités sont laissés sur place et pris en charge le lendemain par les services d'Esterra...

En principe seulement, car il y a une exception notable. Au débouché monsois du camp de nomades situé à Villeneuve d'Ascq (rue de la cruppe), un tas d'encombrant attire l'oeil par son volume et son contenu... il est le résultat des allées et venues, tris et recyclages, effectués par les résidents du camp. Il n'est plus pris en charge par Esterra qui considère, on les comprend, que cela sort du cycle "normal" du ramassage des encombrants.

Dégâts collatéraux

Et devinez qui s'y colle ? le personnel municipal monsois qui intervient avec force camion et tractopelle !

Encore une fois, notre commune se trouve involontairement solidaire de ses voisines. Mais que dire quand on est membre d'une même majorité socialiste à Lille Métropole et qu'on soutient de façon automatique la politique aberrante de sa présidente à propos des migrants en situation irrégulière ?

Une politique irresponsable

Difficile dans ces conditions de traiter par le mépris les mouvements d'humeur de riverains qui n'ont pourtant rien de va-t-en guerre...

M. Frédéric Marchant, le maire socialiste d'Hellemmes, com- mune associée à Lille depuis 1977, dont il est devenu premier magistrat depuis le 27 Septembre dernier, a décidé de faire la sourde oreille à l'opposition manifestée par ses administrés, de passer outre en recourant à la force par l'intervention de la police nationale contre des Hellem- mois calmes mais décidés à s'opposer à l'ouverture des travaux de son "village d'insertion".

Comment un élu peut-il en arriver à de pareilles extrémités ? Est-il à ce point opposé à la concertation ?

Dans ce cas, il se révèle être un bien piètre démocrate...

Les motivations d'un coup de force

Est-ce par discipline vis à vis de ses autorités supérieures ? LMCU, propriétaire du terrain, lui à permis sans difficulté apparente, d'y implanter son projet. En outre, l'intervention de la force publique lui a été très rapidement accordée par le préfet.

Est-ce sa toute récente accession au fauteuil de premier magistrat qui l'a incité à asseoir, par un coup d'éclat, son autorité vis à vis de son conseil communal ou tout simplement pour démontrer aux Hellemmois qu'il était le maître à bord ?

A ce jour, les travaux d'aménagement doivent être terminés et les mobil-home seront sous peu installés. Dés maintenant, il est vivement conseillé à M. Marchand d'user de ses relations et de solliciter de son ami le ministre de l'intérieur le détachement d'un renfort conséquent de policiers pour renforcer l'effectif du commissariat local et assurer la sécurité de ses administrés et la protection de leurs biens dont il est responsable en tant que maire.

L'entêtement d'un homme et son autoritarisme partisan sont aujourd'hui responsables d'une décision inacceptable, dangereuse et anti-démocratique.

Quel futur pour un projet mal ficelé ?

A quoi rime l'implantation d'un village d'insertion destiné à quelques familles de roms alors que le nomadisme inné de leur peuple remonte à la nuit des temps et les rend peu enclins à changer leurs mœurs, quoi qu'on fasse ?

Il est à craindre que la grande surface du parc attirera les caravanes et les véhicules d'autres roms qui s'installeront au coté des mobil-homes en place et profiteront allégrement des points d'eau, des branchements électriques et autres équipements prévus, à l'origine pour cinq familles.

Qui paiera les consommations et la fatale réfection des lieux après leur expulsion probable ?

Comment vont réagir les Hellemmois et leurs riverains Monsois, en particulier ceux qui, par leurs actions, se sont opposés farouchement mais en vain au dictat d'un maire ? Les habitants d'Hellemmes devront attendre les prochaines élections municipales de 2014. En allant remplir leur devoir d'électeur, ils se souviendront, à n'en pas douter, de cet inégal combat et de la façon dictatoriale employée par M. Marchand pour en venir à bout. Ils se rappelleront surtout qu'au matin d'un 15 Novembre 2012, un maire autocrate n'a pas hésité un instant à faire donner la force publique contre ses propres administrés.

Le dossier de la création d'un village d'insertion pour les familles Roms continue à agiter le quartier de la rue Corneille et nous relayons ici la mise au point publiée par le collectif "Engrand".

Comme vous pourrez le constater, il ne s'agit en aucun cas d'un tract haineux mais bel et bien d'un texte argumenté et signé. Il arrive parfois que la démocratie directe dérange, mais il ne sert à rien de garder ses oeillères !

Télécharger la mise au point du collectif

Le maire d'Hellemmes tente de passer en force...

Le chantier a failli démarrer au Parc Engrand, mais cela aurait été sans compter sans la vigilance des riverains. Encore une fois, le maire d'Hellemmes a essayé d'agir en catimini, comme le relate la Voix du Nord dans son édition du 15 novembre.

Sa méthode, qui consiste à refuser le dialogue et à ne pas prendre en considération l'avis des citoyens est non seulement inacceptable, elle est aussi dangereuse car elle attise les tensions.

Le rassemblement de protestation contre la politique de LMCU vis-à-vis des populations Roms, organisé dernier 27 octobre a été un succès.

Ce rassemblement de Monsois et d'Hellemmois souhaitait protester contre l'installation sans concertation d'un village d'insertion au parc Engrand.

Des habitants de tout le quartier, toutes tendances confondues, ont participé.

L'action des élus

Les conseillers municipaux d'opposition des deux villes concernées (Caroline Boisard-Vannier pour Hellemmes et Jérôme Garcia popur Mons-en-Baroeul) vont demander aux maires d'Hellemmes et de Mons-en-Barœul d'inscrire à l'ordre du jour des prochains conseil municipaux un projet de consultation des citoyens sur cette question.

A l'issue du rassemblement, une partie des personnes présentes a souhaité se rendre à la mairie d'Hellemmes. Cette manifestation spontanée n'a pas été souhaitée par les élus qui ne s'y sont pas joints car un nouveau dialogue sera organisé avec le maire d'Hellemmes le 30 octobre.

Manifestation contre la politique de LMCU
à l'égard des populations Roms

L'installation impromptue d'un "village d'insertion" de roms par la mairie d'Hellemmes à proximité de notre commune (rue Corneille) et sans aucune concertation avec les Monsois, a provoqué une levée de boucliers dans le quartier.

Nous avons été interpellés par les habitants et dénonçons la politique menée par LMCU.

• Les villages d'insertion créent un appel d'air pour de nouvelles arrivées, puisqu'ils suscitent l'espoir. Ils contribuent donc à augmenter le problème.
• Ils posent un problème humain : comment choisir les "heureux élus" accueillis en village d'insertion au détriment des "malheureux" que l'on laissera croupir dans un camp insalubre. Réponse officielle à Lille: "En fonction de leur volonté de s'intégrer". Voilà un critère bien flou!
• Intégrer quelques familles roms, pourquoi pas ? Mais dans ce cas, le premier pas de l'intégration consisterait à mélanger ces populations avec la population locale et non créer un "mini-ghetto" qui regrouperait quelques familles.

En lien avec l'opposition municipale hellemmoise, nous organisons un rassemblement de protestation à la politique menée par LMCU, le 27 octobre à 11 heures, à l'angle des rues Corneille et Jean Bart à Mons-en-Baroeul (à la frontière avec Hellemmes).

Dans la presse

Les medias ont relayé cette installation :

> La Voix du Nord du 23 octobre 2012

> Nord Eclair du 22 octobre 2012

> Le Parisien du 23 octobre 2012

Plusieurs événements organisés à Mons-en-Baroeul doivent retenir l'attention des créateurs d'entreprises monsois potentiels. Dans le cadre de "l'automne monsois de la création d'entre- prise", des réunions sont orga- nisées pour présenter les différentes solutions à tous les porteurs de projets :

• Pourquoi créer son entreprise à Mons ? (la réunion s'est tenue le 12 octobre)
• Présentation de la chambre des métiers et de ses services (entreprises artisanales) le 25 octobre à 09 h 30 (sur inscription uniquement au 03 20 12 36 59).
• Création d'activité et économie sociale, le 16 novembre à 14 h 30. (entrée libre tout public, contact 03 20 19 11 44)
• Comment financer son projet ? le 19 novembre à 14 heures au Centre social Imagine (contact 03 20 19 11 44)

Ces événements sont organisés par la Maison de l'Emploi de Villeneuve d'Ascq / Mons-en-Baroeul.

Informations disponibles sur www.maison-emploi-vamb.fr

Mieux vaut tard que jamais

L'opposition URM se réjouit bien entendu de l'émergence ce telles initiatives et rappelle que le soutien aux entreprises existantes et aux créateurs fait partie de ses axes d'actions prioritaires depuis sa création. Qu'on se le dise !

La lecture des panneaux d'affichages mis à la disposition du public dans le hall de la mairie revèle souvent quelques perles. Celle qui suit est énorme !

La mairie de quartier de Mons en Baroeul

Sur l'affichette où notre conseillère générale annonce ses permanences, on peut lire en toutes lettres qu'elle viendra le "10 novembre 2012 à la mairie de quartier de Mons en Baroeul".

Ah bon ? notre ville a été annexée par sa gourmande voisine lilloise ?

Qu'on se le dise, la commune de Mons n'est pas à annexer et sa mairie n'a pas vocation à devenir une mairie de quartier.

Si quelqu'un voulait expliquer cela à Alexandra Lechner, cela éclairerait peut-être sa lanterne...

Indépendance

Même si notre ville fait partie d'une communauté urbaine et travaille en lien avec toutes les communes voisines, elle revendique fièrement son indépendance !

Au fait, si vous rencontrez Alexandra Lechner dans le quartier, rendez-lui service, emmenez-la visiter la mairie de la ville libre de Mons !

Vous avez bien lu : il est écrit "mairie de quartier de Mons en Baroeul"

Lors de la campagne des législatives du printemps dernier, nous avions eu l’honneur d’accueillir Mlle Audrey Linkenheld de temps à autre sur les marchés de Mons-en-Barœul ou à l’occasion de manifestations locales.

Or, depuis son élection en juin, plus rien. Aucune trace de Mlle Linkenheld lors des commémorations, des inaugurations, de la réception donnée en l’honneur des nouveaux Monsois, des évènements culturels ou sportifs...

Une élue trop transparente ?

Ces évènements offrent pourtant aux députés la possibilité de garder le contact avec la population de leur circonscription. Ils permettent de prendre le pouls du "pays profond" et d’écouter surtout la grande inquiétude qui ronge les Français après seulement 5 mois de présence de François Hollande à l’Elysée.

Nous invitons donc celle qui est notre nouvelle députée à s’absenter quelques instants du Palais Bourbon ou de la mairie de Lille pour venir à nouveau visiter notre chère ville de Mons-en-Barœul...

La saison 2011-2012 aura marqué les esprits à l'OM Mons, un des deux clubs de foot de la ville. Nous ne reviendrons pas ici sur les affaires de faux tampons médicaux et sur les sanctions qui en ont découlé.

C'est aujourd'hui avec une structure renouvelée que le club et ses 180 adhérents entament la nouvelle saison.

Un nouveau président

Mathieu Verly n'est pas un novice en matière de sport. Il a déjà exercé des responsabilités professionnelles au comité olympique et sportif du Nord, il intervient en tant que maître de conférence en droit du sport à l'université de Nanterre et à Lille II. Comme de plus, il est avocat au barreau de Lille, le club sera bien défendu !

Perspectives d'avenir

Les structures ont été profondément remaniées et le club a réussi à maintenir son effectif. L'année démarre sous le signe de la reconstruction et l'OM Mons entend bien faire progresser toutes ses équipes et renouveler son image. Ce sera d'ailleurs la dernière saison sour le sigle OM Mons car pour la saison 2013-2014, il se nommera FC Mons.

C'est reparti, le dossier des campements illicites de nomades est à nouveau sur le devant de la scène.

Rappel des faits

Dans la Voix du nord de ce 1° août, Gérard Caudron, le maire de Villeneuve d'Ascq, sort à nouveau de ses gonds. En réponse aux propos tenus par son opposition UMP, il stigmatise les élus de droite en les accusant de n'avoir rien fait lorsqu'ils étaient au pouvoir. Chacun sait à quoi s'en tenir sur le sujet car, aussi bien sur le plan local -les demandes de démantèlement de camps ont bien  été formulées par l'UMP villenevoise- qu'au plan national, le dossier faisait bien partie des priorités gouvernementales !

Attaque en règle

Le maire de Villeneuve d'Ascq accuse -en vrac- la droite d'ignorer et violer les lois et les règlements, d'avoir laissé les populations nomades s'installer s'installer dans la métropole lilloise. Il oublie simplement de mentionner l'inaction de son propre camp et les positions prises par LMCU sur le dossier.

La réponse de l'opposition

La position des oppositions municipales, autant à Villeneuve d'Ascq qu'à Mons-en-Baroeul, devait être rendue publique et un communiqué de presse a été envoyé dés le 1° août aux journaux. A suivre.

> Le communiqué de Caroline Boisard-Vannier et Jérôme Garcia

> Les propos de Gérard Caudron dans La Voix du Nord (1 août 2012)

> La position de Florence Bariseau, à l'origine du débat (30 juillet 2012)

Les du Baroeul réunissent chaque semaine, au parc du Baroeul, une foule nombreuse autour d'animations festives. Cette semaine, démonstration de fauconnerie et balades en voiture hippomobile. Les plus curieux auront pu entrevoir les travaux en cours dans le parc. Nous y reviendrons.

Bien que le sujet ne concerne pas "directement" l'administration municipale de Mons en Baroeul, nous ouvrons nos colonnes à un sujet qui concerne une grande partie des monsois puisqu'il s'agit de l'accès à notre ville par la Voie Rapide Urbaine (VRU). Notre attention, relayée par celle de nombreux monsois, est en effet régulièrement attirée par le mauvais état d'entretien observé à cet endroit.

Délabrement

Depuis l'ouverture de cet axe de circulation, l'état de l'équipement s'est consi- dérablement dégradé et son entretien ne semble pas inquiéter outre mesure les services concernés. Les murs anti bruits sont sales, des plaques isolantes sont cassées ou manquantes, des tagues sont présents et ce depuis de nombreuses années, les abords sont très rarement nettoyés et particulièrement les sorties et accès à Mons-en-Baroeul.

Au printemps de cette année, l'arasement des bas-cotés a laissé le carrefour du Pont du Lion d'or dans un état lamentable: végétaux non ramassés, détritus en tous genres, trainent à même le sol.

On pourra toujours crier "Incivilité" ! n'empêche que la situation est franchement déplorable et, globalement, la VRU et ses accès donnent une bien triste image de notre métropole et n'incite pas au civisme.

L'URM agit

Il ne suffit pas de râler, il faut agir, et l'URM a pris sa plus belle plume pour alerter le député de la circonscription concernée. Nous vous tiendrons au courant des suites !

Caroline Boisard-Vannier, candidate de rassemblement de la droite et du centre est arrivée en deuxième position à l’issue du premier tour de l’élection législative, à Mons-en-Barœul et dans l’ensemble de la 2° circonscription. A Mons-en-Barœul, 21,5% des électeurs lui ont témoigné leur confiance. Elle distance les représentants du Front National, du Front de Gauche et d’EELV.

Nous appelons tous les Monsois qui n’ont pas voté pour Caroline Boisard-Vannier au premier tour à se mobiliser massivement pour elle prochain. Elle incarne la perspective d’une alternance dans notre circonscription, tenue depuis trop longtemps par des apparatchiks du PS. Le bilan du PS depuis 40 ans dans notre secteur ce sont des problèmes de chômage, de précarité, d’environnement dégradé et d’insécurité plus lourds qu’ailleurs dans la métropole.

En votant pour Caroline Boisard-Vannier, les Monsois pourront donner le signal d’une volonté de changement. Ils voteront pour une élue de terrain, proche des préoccupations de la population.

Elle s'appelle Voltaire coté Mons et Jacquard coté Hellemmes. Si on la suit vers Lille, elle devient Victor Hugo puis Lannoy pour finir enfin à la Douane de Fives. Vous l'avez reconnue, il s'agit de la RD 6.

Rénovation et sécurisation

Les 800 m de voirie de la partie monsoise de cet axe avaient besoin d'un renouvellement complet et ce sera chose faite prochainement. Ils nécessitaient aussi des travaux de sécurisation car sa grande largeur et son caractère rectiligne en augmentaient la dangerosité (14 accidents depuis 2006). Les caractéristiques de la nouvelle route devraient permettre des améliorations : réduction de la largeur des voies, terre-plein central, signalisation des carrefours améliorée, avancées de troittoirs en "oreilles de Mickey" pour dégager la visibilité et réduire la longueur des passages piétons.

Kafka toujours vivant

Cela devient anecdotique une fois que le dossier est bouclé, mlais notons tout de même que le montage technique et financier d'un tel projet n'est pas des plus simples : il s'agit d'une route départementale, donc du ressort du conseil général. Comme elle est en ville, les trottoirs sont à la charge de LMCU. Mais la partie monsoise dépend de l'unité territoriale de Roubaix tandis que l'hellemmoise dépend de celle de Lille... Vous suivez ? Bref, après de nombreuses palabres, les parties concernées ont réussi à s'entendre et les travaux peuvent démarrer.

Budget total 295 K€ dont 200 K€ à la charge du Conseil Général, le reste à la charge de LMCU.

Vous avez aimé V'Lille ? Découvrez l'autopartage !

De quoi s'agit-il ?
Actif à Lille depuis quelques temps déjà, le service Lilas arrive à Mons-en-Baroeul et propose des locations de véhicules en libre-service.

Vous avez besoin d'un véhicule ? Louez-le à l'heure, à la 1/2 journée, à la journée. Simple, il suffisait d'y penser. Un site internet dédié www.lilas-autopartage.com ou un numéro de téléphone direct vous permettra de vous inscrire et tester le service

Vers une nouvelle mobilité ?

Lilas propose des tarifs attractifs, principalement pour les titulaires des cartes d'abonnements Transpole et TER. L'enjeu est clair, faire baisser le nombre de voitures dans nos centre-villes engorgés. A priori, une excellente idée, mais il faudra tout de même évaluer à terme les résultats de ce nouveau service et voir s'il apporte une réelle amélioration ou si on reste dans le monde du gadget et de la bobo-culture !

En tant que responsable de la droite et du centre à Mons-en-Baroeul, je tenais à remercier les 3 792 Monsois qui ont témoigné leur confiance au président Nicolas Sarkozy.

Ils représentent 40% des suffrages exprimés, un chiffre sans doute en dessous de nos espérances. Néanmoins, ce score démontre qu’un socle important de Monsois n’a pas écouté les invectives et les attaques injustes lancées à l’encontre du président par les caciques locaux du PS et par celui qui a choisi de les servir depuis 2004, M. Elegeest.

Le quinquennat Sarkozy a été profitable pour Mons-en-Baroeul

Au cours des dix dernières années de présidence de la droite, Mons-en-Baroeul a bénéficié d’un effort sans précédent de l’Etat, qui a donné de nouveaux moyens financiers à la commune, permis le lancement du plan de rénovation urbaine, lancé la maison de l’emploi, financé les actions de cohésion sociale et fait reculer les faits de délinquance à Mons.

Nous espérons qu’au cours des cinq années qui viennent, notre commune continuera à bénéficier de l’action de l’Etat. Force est de constater qu’en dehors du slogan visionnaire "le changement c’est maintenant", nous ne savons pas encore quelle politique le nouveau président entend mener pour les communes de banlieue comme la nôtre.

Un nouveau combat

Plus que jamais, je continuerai à défendre mes convictions : celles du Gaullisme, c’est-à-dire le rassemblement de tous les citoyens et l’action au service de l’indépendance et du rayonnement de la France. Désormais, toute notre équipe s’engage aux côtés de notre candidate aux législatives, Caroline Boisard-Vannier, qui saura défendre nos valeurs avec brio.

Jérôme Garcia
Conseiller municipal UMP de Mons-en-Baroeul

En tout cas, après l'incendie survenu dans la nuit du 23 au 24 avril,
elle n'a plus la friterie !

Porte bonheur ?

Pas certain que le 13 avril 2012 reste un bon souvenir dans l'histoire de la piscine de Mons en Baroeul... une importante fuite d'eau a provoqué l'inondation des locaux techniques dans la nuit de à , entrainant la fermeture de l'édifice.

L'entreprise qui a effectué une opération de maintenance le matin même aurait-elle été oublié de fermer les robinets en partant ?

> En savoir plus dans la Voix du Nord

12 mars vers 22 h 30, rue Jules Ferry, un véhicule automobile a pris feu sans que l'on en connaisse la cause. Rapidement les hautes flammes ont léché jusqu'aux toîts les murs des deux constructions, provoquant la détérioration des compteurs à gaz et de petites explosions.

Appelés par les témoins, les pompiers sont rapidement intervenus sur les lieux et ont réussi à circonscrire l'incendie au bout d'une heure environ. Craignant des explosions plus graves à cause de la fuite de gaz, les pompiers et la police ont bloqué la rue et fait sortir les habitants des maisons avoisinantes, après avoir fait couper le courant par mesure de sécurité.

Tout danger ayant été écarté, autorisation a finalement été donnée de regagner les domiciles vers minuit mais dans l'obscurité, le courant n'ayant été rétabli que dans le courant de la nuit...

Les résidents du Haut de Mons (ilot Rubens, de Gaulle, Pasteur, Zola) auront passé presque 3 heures sans électricité ce après-midi.

Un véhicule a violemment heurté la transformateur en tentant d'éviter un scooter venant en sens inverse. Heureusement, pas de bléssés graves. Le transfo, lui, est mal en point !

Saluons l'intervention des pompiers avec leur matériel de "catastrophe naturelle" et ceux de ERDF qui ont permis, en un temps record, de consolider le transformateur pour éviter son écroulement complet et rétablir le courant aux environs de 19 h 45.

A l'occasion du débat pour l'élection présidentielle, de nombreux candidats se sont ralliés au "produisons français".

Simple slogan de campagne ou véritable engagement ?

Pour vous permettre d'y voir plus clair, l'UMP organise à Mons-en-Baroeul une conférence débat sur le thème:

"Protéger et renforcer l’industrie française : une priorité".

Loin des querelles partisanes, l'occasion d'un débat de fond sur un sujet crucial pour notre économie.

> informations pratiques

La météo a eu raison de la visite des chantiers ANRU : annulée
La météo a été plus forte que la circulation des bus : suspendue
Le mauvais temps a perturbé les ébats sportifs des footeux : suspendus eux aussi !

Chaude ambiance

Mais ni le froid, ni la neige, ni la bise n'ont pu empêcher la Choucroute 2012 de se tenir à la salle du Fort de Mons ce 4 février. Ce sont pas mois de 800 personnes qui se sont retrouvées pour le traditionnel repas festif organisé par l'ACTE. De nombreux élus (toutes tendances confondues) avaient fait le déplacement pour cet événement placé sous le signe de la convivialité.

Solidarité Franco Roumaine

L'ACTE est une association monsoise née dans le cadre du collège Lacordaire et consacrée à l'amitié et à la solidarité entre jeunes monsois et jeunes du lycée Stefan Cel Mare de Hîrlàu (Roumanie). Depuis son lancement en 1993, de nombreux échanges ont été organisés entre les deux pays et ont permis de mieux découvrir un peuple culturellement très proche du notre. Avec l'ACTE, gageons que l'Europe est devenue une réalité beaucoup plus concrète pour de nombreux jeunes des deux pays.

Découvir le site internet de l'ACTE

Dans son édition du 26 janvier, la Voix du Nord relate la cérémonie de voeux de la section Monsoise du Parti Socialiste.

Nous constatons que les propos du responsable local du PS sont mesurés voire lucides, en particulier lorsqu'il mentionne "les fils un peu distendus entre la gauche et la France".

"Mélenchonisation"

En revanche, nous sommes choqués par la violence des propos du maire de Mons, Monsieur Elegeest, vis-à-vis du Président de la république.

Celui qui se déclarait il y a peu de temps encore "apolitique" tient le langage type des plus sectaires représentants de la gauche de la gauche. Avant d'accuser le gouvernement d'avoir "éclaté la société", "monté les gens les uns contre les autres", "abîmé le vivre ensemble", le maire de Mons devrait balayer devant sa porte.

La réalité monsoise

Il a abîmé le débat démocratique dans notre commune en se rendant coupable d'agressions verbales vis-à-vis de son opposition, en particulier vis-à-vis de la doyenne du conseil municipal, Fernande Musslin, et vis-à-vis de ceux qui ont un avis différent du sien.

En 10 ans, il ne s'est jamais attaqué aux graves problèmes économiques et sociaux de notre commune. Trois chiffres sinistres résument son bilan : 0, 20, 25. 0 création d'emploi, 20% de chômage pour les Monsois et 25% de votants pour le Front National.

Alors que le gouvernement a aidé considérablement Mons-en-Baroeul au travers du plan de rénovation urbaine et de l'augmentation des dotations de solidarité, le maire mord la main qui le nourrit.

A quand l'adhésion au Front de Gauche ?

Dé-frichage

Cette fois c'est parti, après de très très longs mois de statu quo, la friche industrielle de la rue Parmentier n'est plus qu'un souvenir pour les riverains.

La construction de la future résidence "Les Jardins de Claire" va pouvoir démarrer très prochainement.

Salle pleine

La cérémonie des voeux organisée par l'URM a réuni une assistance nombreuse et attentive. Un bon point pour une année électorale qui va mobiliser les énergies.

Après un bilan de mi-mandat, Jérôme Garcia a présenté les enjeux de 2012, tant sur le plan local que national.

Démocration locale

Un débat spontané a ensuite permis un large échange de vues autour de la TVA anti délocalisation et d'autres sujets "chauds". Nos sympathisants ont des idées, c'est un encouragement pour l'avenir.

Anémones, un bien joli nom pour une résidence monsoise...

Sauf qu'ici il s'agit des deux tours dites "jumelles" situées place Vauban, dans le bas de Mons, et que les conditions de vies y sont tout sauf poétiques !

Nuisances à tous les étages

Nous avons été alertés par des habitants des dites tours sur les nuisances subies lors des derniers travaux de "remise en état" des appartements. La réfection des sols lors du désamiantage d'un appartement a même causé un dégât des eaux dans l'appartement situé juste au dessous !

La goutte qui fait déborder le vase

Dégât collatéral pourrions-nous dire... certes ! mais comme les dysfonctionnements sont nombreux dans cette tour (cafards, nuisances sonores, saleté des parties communes, ...), on comprend que l'exaspération des locataires monte vite et personne n'est surpris quand ils écrivent à leur bailleur pour protester.

Silence radio

Le hic est que le dit bailleur ne se donne même pas la peine de répondre au courrier... pensant certainement qu'il a mieux à faire que de se préoccuper du bien vivre des locataires.

Tout simplement consternant.

Toute l'équipe de l'Irréductible Monsois et l'ensemble des membres de l'URM adressent leurs meilleurs voeux 2012 à toutes les monsoises et tous les monsois.

Que cette année 2012 vous apporte santé, joie et réussites professionnelle et familiale !

Adhérents URM, sympathisants, curieux, ou même adversaires politiques, soyez assurés de la constance de l'Irréductible Monsois pour -avec votre aide- traquer l'actualité de la ville et proposer une nouvelle politique pour la ville.

Nous avons appris le décès, aujourd'hui, de André Cayzeele, des suites d'une longue maladie. André se battait depuis plusieurs années déjà contre la leucémie et tous ceux qui l'ont côtoyé ont été marqués par son courage et sa joie de vivre inaltérables.

Nous rendons hommage à l'homme de coeur, et au compagnon de route de l'URM.

Nos pensées vont aussi à son épouse, Monique, qui l'a soutenu jusqu'au bout.

La cérémonie de funérailles aura lieu le 16 novembre 2011 à 10 h 45 à l'Eglise Don Bosco de Mons en Baroeul.

Un membre de l'URM doit s'investir au service de ses concitoyens !
Partant de ce principe, j'ai testé pour vous le système V'Lille.

Les préliminaires

Avant de pouvoir monter sur son V'Lille, il faut être inscrit... normal. Un premier choix est à opérer : s'inscrire pour 1 jour, 1 semaine ou 1 an. N'y allant pas par quatre chemins, je choisis l'abonnement 1 an. Malheureusement, cette option n'est pas disponible sur les bornes mises à disposition dans les stations V'Lille en ville. Il faut se connecter sur son ordinateur... quelques clics plus tard et après avoir fait fonctionner la carte bancaire (inscription annuelle + dépôt de garantie), on obtient un code utilisateur (avant de recevoir sa carte par courrier) et un mot de passe.

L'introduction

Quand l'utilisateur est muni de sa carte, il peut l'introduire dans la borne et composer son code secret. Il sélectionne un vélo disponible et peut ensuite aller le retirer de son plot de parking.

La première 1/2 heure d'utilisation est gratuite, c'est en principe largement suffisant pour se rendre à Lille ou à La Madeleine, restituer son vélo dans une autre station, faire ce qu'on à à faire et revenir par le même moyen...

Le 7° ciel

Les vélos sont confortables et simples à utiliser. Le système de freinage est puissant et l'éclairage semble efficace (on fera un nouveau test en soirée pour voir...). L'impression générale est très positive et donne envie d'utiliser un vélo régulièrement. N'espérez cependant pas faire une performance car l'engin est lourd. D'un autre coté, c'est pas fait pour ça !

En tous cas, le coté pratique du système est appréciable : plus besoin de se munir de son automobile pour se rendre "en ville" et, si toutefois l'air du métro ne vous convient pas, vous pourrez désormais respirer celui des rues de nos cités (sans rejeter trop de CO2).

Information confidentielle : la prochaine activité culturelle organisée par l'URM se fera en V'Lille.

Hommage au Colonel

Le Colonel Icart s'est éteint le 10 octobre dernier à l'âge de 80 ans.

Nous avons perdu une figure de la vie Monsoise et un fidèle Gaulliste.

Aquitain d'origine, Yves Icart a grandi à Saint Macaire, en Gironde. Il occupa de nombreux postes de responsabilité dans l'armée française.

Monsois depuis les années 1970, il s'engagea dans la vie locale après son départ en retraite.

Il fut un pilier du RPR local, puis de l'UMP, avant de devenir l'un des membres fondateurs de l'URM en 2006, en remplissant brillamment la fonction de trésorier.

Le Colonel Icart était connu pour son esprit acéré, sa grande culture historique et son humour décapant.

L'URM souhaite rendre un hommage appuyé à celui que nous appelions affectueusement "le Colonel" et présente ses condoléances les plus sincères à sa famille.

Jérôme Garcia
Conseiller municipal de Mons en Barœul

Ses funérailles religieuses se dérouleront le 15 octobre en l'église Saint-Pierre de Mons en Baroeul à 10 h 45

Pour les quelques naïfs qui faisaient encore mine d'en douter, Rudy Elegeest tombe le masque en se proclamant ouvertement "Aubryiste"... le soutien d'un fidèle* pour la maire de Lille socialiste et candidate aux primaires du PS en vue des élections présidentielles 2012. C'est en tout cas ce que nous pouvons lire ce dans La Voix du Nord, sous le plume de Laurent Watiez.

D'après notre maire, Martine Aubry c'est "la république rassemblée". Voilà qui fera sourire (jaune) les lillois qui subissent au quotidien la politique "rassembleuse" de la maire dans leur ville. Voilà en tous cas une profession de foi appréciée de la part d'un vice-président à la présidente socialiste de Lille Métropole.

Le journaliste de La Voix du Nord pose en conclusion la question inévitable : à quand une adhésion au PS ? et c'est à lui que nous empruntons le titre de ce billet : Encore un effort, camarade...

* Quand Rudy Elegeest nous dit "Je ne suis pas au PS, mais depuis dix ans, je suis aubryste" cela mérite au moins une explication : l'aubryste depuis 10 ans était apolitique en 2001, avait soutenu Ségolène Royal en 2007 pour devenir Strauss-Kahnien en 2008-2009. La ligne droite n'est pas toujours le chemin le plus court pour relier deux points ! Comprenne qui pourra...

20 septembre, résidence Les Bruyères, atmosphère studieuse pour la première réunion publique d'information sur le projet de construction des béguinages dans la plaine Picasso. La cinquantaine de riverains présente attend, impatiente, de découvrir le projet...

Le projet

Un ensemble de logements allant des plain-pieds (17 logements) au collectif en R+2 (17 logements), et adaptés pour le confort d'une population "plus de 60 ans" : accès facilités, salles de bains aménagées, etc... pour terminer le tableau, précisions qu'il s'agira de bâtiments basse consommation et que le site sera sécurisé par une clotûre. L'allée Picasso restera en impasse, ce qui y limitera mécaniquement la circulation automobile...

Notre position

L'URM a, depuis le début de ce dossier, déploré le manque d'information des élus d'opposition monsois. Nous avons été alertés initialement par les élus d'opposition de Lille Métropole. Un comble !

Cela ne nous a pas empêché d'apporter notre soutien au principe d'un programme immobilier à cet endroit de la ville, car nous sommes conscients de la pénurie de logements sur la métropole lilloise.

Ceci dit, nous aurions préféré un programme résidentiel en accession privée, répondant aux besoins des familles et préservant l'équilibre de la pyramide des âges dans le quartier...

Nos réserves sur le projet présenté ont essentiellement porté sur l'absence de parkings souterrains et la présence dite obligatoire* de logements sociaux (notre commune en compte déjà 37%).

Le choix d'installer une résidence de personnes agées dans le quartier pose par ailleurs le problème de la répartition de ce type d'équipements sur le territoire monsois (le bas de Mons en est totalement dépourvu). car nous aurons à terme 4 équipements concentrés uniquement sur le haut de Mons.

Vigilance

Les propos, une nouvelle fois très agressifs, du maire à l'encontre de son opposition trahissent un certain manque de sérénité et nous incitent à rester très vigilants. Notre volonté est de continuer à informer les citoyens monsois des projets qui les concernent, sans oeillères politiques et pour le plus grand bien de la commune.

*l'obligation d'intégrer des logements sociaux dans tout nouveau programme immobilier a été présentée par le maire comme une obligation légale. Ce qui est faux ! il ne s'agit en réalité que d'une déliberation de Lille Métropole Communauté Urbaine -sur laquelle il est toujours possible de revenir- et qui ne concerne que les programmes de plus de 17 logements.

Paru discrétement durant l'été (France3.fr du 25/08/2022), un petit article n'a pas manqué d'attirer notre attention.

Un accueil de jour insuffisamment fréquenté

Sour le titre "A la recherche de patients", on y découvre que l'accueil de jour qui fait la fierté de l'équipe municipale en place serait menacé de fermeture faute de patients... aurions-nous une fois de plus construit un équipement en "oubliant" l'humain et le fonctionnement quotidien ?

Alzheimer

Le centre a été construit pour accueillir des personnes atteintes d'Alzeihmer. De là à y voir une relation de cause à effet, il n'y a qu'un pas que nous ne franchirons pas car, en la matière, c'est encore d'argent public qu'il s'agit ! Le nôtre, le vôtre... et cela il faut le garder en mémoire.

A voir l'état du parking de la résidence de l'Hôtel de ville, cela n'est pas si sûr...

Entretenir ce qui doit être entretenu,
rénover ce qui doit l'être...

L'état du parking en question pourrait presque passer inaperçu dans une ville déjà en pleins travaux, mais la réalité ne se laisse pas faire ainsi et nous avons été alertés récemment par un accident survenu en juillet 2011 et qui a entraîné fracture et hospitalisation.

La chute d'une personne agée riveraine est à mettre directement en lien avec la qualité plus que douteuse du sol. Le pavage a été réalisé à une époque où les arbres étaient beaucoup plus petits. Aujourd'hui, ils ont grandi et les racines font bouger les sols en rendant dangeureuses certaines parties du parking.

Des travaux toujours remis

L'URM avait alerté les services compétents en 2008 à propos du même dossier. L'intervention des dits services n'a pas été à la mesure des attentes. Nous avons décider d'alerter une nouvelle fois la mairie par courrier et, à la rentrée, nous vous tiendrons au courant des suites données.

Le calme de l'été nous permet de revenir sur un dossier qui fait déjà polémique et secoue le quartier pourtant réputé calme de l'allée Rubens.

Un programme qui divise

La plaine Picasso, puisqu'il s'agit d'elle, est encore aujourd'hui une vaste étendue verte et un projet immobilier annoncé par la municipalité divise les habitants. Quid des espaces verts ? de la tranquillité ? etc... les réactions habituelles à toute nouvelle implantation, quel qu'en soit le lieu.

Une prise de position nuancée

La position de l'URM a, dés le départ, été claire : nous ne sommes pas opposés à la construction de logements, et nous sommes convaincus que la ville de Mons peut proposer à cet endroit une offre complémentaire. Nous souhaitons par contre que le projet prennent en compte les spécificités du quartier : des bâtiments de hauteur modérée (R+2 au maximum) bénéficiant d'une architecture de qualité et des parkings en souterrain pour ne pas bétonner tout l'espace comme c'est malheureusement trop souvent le cas.

La question de la présence de logements sociaux dans le programme pose, elle aussi, question. Notre ville présente déjà un des plus fort taux de logements sociaux de la communauté urbaine de Lille, et nous ne souhaitons pas, pour cette raison, qu'il en soit ajouté de nouveaux dans ce programme.

La mairie acceptera-t-elle le dialogue ?

Une campagne de tract, apparemment mal vécue par la mairie, a permis d'expliquer notre position à tous les riverains. La réaction des élus de la majorité a montré un certain manque de sérénité...

Prochaine étape : l'enquête d'utilité publique. Que ceux qui se plaignent de ne pas avoir été suffisamment écoutés se fassent entendre à ce moment... ce sera une belle illustration de ce que peut être la démocration participative !
 

Disponibles en téléchargement :

> le tract diffusé en mai 2011 par l'URM

> le second tract diffusé en réponse au tract municipal

Ces derniers temps, la ville se hérisse de curieuses constructions... les suppositions vont bon train sur l'utilité de ces poteaux fichés en terre en plusieurs endroits de la commune.

Allez, encore un petit effort, vous y êtes, ce sont les futures stations du V'Lille, qui entrera en service au mois de septembre.

4 gares monsoises

Le projet V'Lille permettra aux lillois, aux monsois et aux madeleinois d'utiliser en libre service des vélos en les prenant dans une des stations telle que celle que vous voyez sur la photo et en le rendant dans n'importe laquelle des 110 stations mises à leur disposition. Cela ressemble un peu au V lib parisien, mais en beaucoup mieux, forcément !

Un projet d'envergure

Ce ne sont pas moins de 1100 vélos qui seront disponibles en libre service et 3000 qui seront proposés en location longue durée. A partir de 1.40 euro / jour, cela vaut largement la peine de faire quelques infidélités à sa sacro-sainte bagnole... et la ville ne s'en portera que mieux !

Des vélos made in Lille Métropole

Priorité donnée aux savoirs faire locaux puisque c'est la société Decathlon qui assemblera les futurs V'Lille dans son usine lilloise (le village B'Twin).

Rendez-vous pour un essai

Pour pouvoir vous en dire plus sur ce service, nous avons prévu de le tester très rapidement et vous faire part de nos premières impressions. A bientôt sur les rues et les bandes cyclables de la commune pour un essai grandeur nature.

>>> tous les détails sur le V'Lille sur le site dédié www.vlille.fr

C'est classique, l'autoroute, tout le monde aime l'emprunter, personne n'aime l'avoir au bout de son jardin...

90 km/h

La réduction de la vitesse limite à 90 km/h sur plusieurs tronçons autoroutiers de la métropole réjouira au moins les monsois qui subissent quotidiennement les gênes de la VRU (voie rapide urbaine) au niveau du Haut de Mons (Sablière, Franklin, Léon Blum, Pilaterie). La mesure prend effet le 13 juillet 2011.

Espérons que la réduction des nuisances sonores sera sensible !

Décidément, on n'en finit pas d'innover à Mons-en-Baroeul, la piscine municipale a été cambriolée la semaine dernière... les voleurs ont été arrêtés et le butin est maigre mais tout de même, une télésurveillance habilement installée aurait certainement pu dissuader les indélicats et épargné à la ville les tracas d'une remise en état des lieux...

L'histoire ne dit pas si les voleurs ont emporté uniquement du liquide !

Depuis plusieurs années, vous aviez pris l'habitude de venir rencontrer l'Union pour le Renouveau Monsois à la braderie du Haut de Mons : accueil chaleureux, café, bonnes infos, bref un lieu de convivialité où l'opposition municipale bénéficiait d'une certaine visibilité auprès du grand public.

L'URM persona non grata

En cette année 2011, situation nouvelle : pas de stand URM... faut-il en conclure que vos élus ont renoncé ?

Vous n'y êtes pas. Les organisateurs de la manifestation ont simplement émis un nouveau règlement interdisant aux partis politiques de bénéficier d'un stand. Bien qu'en profond désaccord avec un tel diktat, nous avons choisi de jouer le jeu et respecter à la lettre cette interdiction !

Ils ont osé !

Ceux qui auront parcouru la braderie ce 19 juin seront tous passés devant le stand du... Parti Socialiste ! Vous avez bien lu, certains partis ont eu le droit d'installer un stand, d'autres pas.

Nous n'avons aucun ressentiment particulier à l'encontre du PS, ils ont osé et ils ont bien fait. Nous sommes simplement scandalisés par l'attitude plus qu'ambigue de certains organisateurs qui interdisent à certains ce qu'ils autorisent à d'autres.

A l'année prochaine

C'est promis, en 2012, nous ferons respecter nos droits et les vôtres et nous serons présents à la braderie du Haut de Mons !

La situation de la mission locale de Villeneuve d'Ascq / Mons-en-Baroeul avait déjà défrayé la chronique en 2010 et on avait alors parlé de fautes de gestion, dépenses inconsidérées, et... manque d'efficacité. Des engagements avaient été pris à l'époque pour assainir la situation et trois membres du personnel avaient été licenciés. Les derniers soubresauts semblent infirmer ces bonnes intentions et la situation est de nouveau critique.

Procédure d'alerte

Le commissaire aux comptes a été contraint de lancer une procédure d'alerte tant la situation financière est devenue précaire. Les pertes accumulées mettent en péril l'édifice et, même si les 33 salariés ont pu être payés en avril 2011, l'avenir est particulièrement assombri.

Il aura fallu l'engagement des municipalités de Villeneuve d'Ascq et de Mons en Baroeul (conseil municipal du 17 juin 2011) à refinancer la structure à coup de subventions "exceptionnelles" pour que la procédure soit suspendue...

Une gestion hasardeuse

Les différents analystes pointent tous les mêmes errements dans la gestion de l'organisme, des dépenses peu en rapport avec les ressources et des dérives constantes depuis de nombreuses années. Rappelons que l'ancienne directrice avait été contrainte à la démission pour malfaçons et qu'une action judiciaire est toujours en cours contre elle !

L'opposition municipale n'a pas réussi à obtenir plus de précisions sur les mesures réellement prises pour assainir définitivement la situation et, si ce n'est de nouveaux licenciements (5 personnes), la situation reste toujours aussi floue. Notre demande de siéger au conseil d'administration n'a reçu aucune réponse de la part du maire... il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre !

Des enjeux essentiels

Venons-en à l'essentiel, l'intérêt même de la mission locale. Elle est là pour favoriser l'insertion des populations monsoise et villenevoise en situation précaire. Quand on connaît le nombre de demandeurs d'emplois dans la ville de Mons, on comprend mieux l'importance de cette structure et on ne peut que regretter qu'on parle plus souvent d'elle à cause de sa mauvaise gestion que par ses actions en faveur de l'emploi !

La Voix du Nord, dans son édition du 15 juin 2011, fait paraître le bulletin de mi-mandat de l'URM. L'interview de Jérôme garcia a été réalisée le 11 juin.

>>> lire l'interview dans La Voix du Nord

S'il est un événement récent qui n'a pas fait les gros titres de la presse, c'est bien la condamnation de la ville de Mons en Baroeul par le tribunal administratif, pour infraction aux règles de passation des marchés publics.

Le maire refuse de faire droit à la demande du préfet

Le marché public de rénovation de la mezzanine de l'Hôtel de Ville n'a pas respecté certaines des règles en vigueur et le préfet du Nord a demandé en conséquence au maire de Mons de procéder au retrait des marchés litigieux. Devant le refus de ce dernier, le préfet à décidé de déférer les marchés litigieux au tribunal administratif et en demander l'annulation.

La ville condamnée par le tribunal administratif

Le tribunal administratif, en son jugement du 22 mars 2011, a tranché et notre ville a été condamnée. Nous ne nous attarderons pas sur les faits eux-mêmes et les spécialistes liront en détail le jugement rendu.

Notre étonnement (!) est grand de voir notre maire, si souvent en posture de "donneur de leçon de démocratie", se faire ainsi prendre en faute. Les règles de la démocratie et le respect de l'Etat ne vaudraient ils que pour le citoyen lambda ?

Retournements à tout-va

La métropole lilloise présente une triste particularité politique : des maires élus grâce à la droite qui retournent leur veste pour la gauche, en échange de places bien rémunérées.

Nous connaissions Olivier Henno, ancien collaborateur de Marc-Philippe Daubresse, élu en 2001 maire de droite UDF à Saint-André contre un maire PS. Quelques années plus tard, sous l'étiquette Modem, il passe à gauche et rejoint l'équipe de Martine Aubry à la communauté urbaine. Il est aujourd'hui le premier à lever le doigt dès qu'il s'agit d'attaquer la droite et en particulier M. Daubresse, son ancien mentor à qui il doit tout.

Nous connaissions bien sûr le maire de Mons, Rudy Elegeest : élu en 2001 contre Marc Wolf, maire de gauche, grâce au soutien de la droite métropolitaine, en particulier de MM. Daubresse et Lecerf. Dès 2004, il retourne sa veste et passe à gauche, en échange d'une confortable place de conseiller régional sur la liste PS-PC-Verts.

Nous connaissions aussi René Vandierendonck, élu initialement maire de Roubaix avec l'étiquette CDS (UDF) avant de passer corps et âme du coté de la gauche.

Elus à vendre ?

Le dernier en date dans cette lamentable lignée est Henri Ségard. Ex membre de l'UMP, élu maire de Comines contre un maire communiste. Je me souviens d'une réunion UMP tenue à Lille en 2004 à l'occasion des cantonales, au cours de laquelle il pourfendait le bilan du PS nordiste en matière d'emploi et de santé. Ses "convictions" n'ont pas résisté aux charmes d'un poste de Vice-Président à la communauté urbaine de Lille, que Martine Aubry lui a offert en 2008. Il n'en fallait pas plus que ce hochet pour le faire passer à gauche : il encense aujourd'hui le bilan du PS.

Les électeurs se rebiffent

En ce 15 mai 2011, les électeurs de Comines ont sanctionné M. Ségard : Alain Detournay, le maire de droite sortant a obtenu 49% des suffrages contre 33% pour M. Ségard. C'est M. Ségard qui avait installé Alain Detournay, homme resté fidèle à la droite, avant de le désavouer et d'organiser le blocage du conseil municipal contre M. Detournay, puis de provoquer une éléction municipale partielle par la démission de plusieurs conseillers municipaux.

Nous souhaitons un bon succès à M. Detournay et à son équipe pour le second tour. Les Cominois ont salué sa fidélité à ses convictions et son sens du service aux citoyens.

Le printemps s'annonce chaud à Mons-en-Baroeul. Nous aimerions parler de météo, mais il s'agit en réalité de l'enchainement d'incendies survenus durant la semaine passée sur le territoire de la commune.

Acte 1, salle de sport des Provinces

La salle de sport des provinces s'enflamme et l'importance de l'incendie et les dégâts occasionnés sont tels qu'il n'est même pas question de remettre l'édifice en état. Il faudra le raser pour reconstruire. Les dégâts sont estimés entre 1 et 2 millions d'euros.

La thèse officielle est -pour le moment- celle de l'incendie accidentel. Elle ne semble cependant pas convaincre tous les habitants du quartier, dont certains murmurent que la rénovation urbaine en cours ne plairait pas forcément à tout le monde...

Acte 2, tour Lamartine Un ascenseur d'une des tours en totale rénovation prend feu et est complètement détruit. Par chance, on ne déplore aucune victime, mais les dégâts sont là aussi très importants et les gênes occasionnées pour les habitants difficiles à supporter. Évolution dans l'explication, on parle désormais ouvertement d'incendie criminel...
Un lien à faire ? Il est trop facile -sans éléments de preuve formels- de lier les deux événements,		La tour Lamartine est similaire à la tour Vanhoutte ci-dessus. Elle bénéficie aussi d'un très important programme de rénovation financé par l'ANRU.

mais leur proximité dans l'espace et dans le temps oblige tout de même à se poser des questions. Nos quartiers sont trop souvent la cible d'incivilités qui pourrissent la vie de la majorité de la population. Un autre quartier, pourtant réputé tranquille (secteur Parmentier / Jeanne d'Arc), a lui aussi été troublé ces derniers mois par des actes d'incivilités répétés. Des solutions, rondes, télésurveillance, existent mais ne sont semble-t-il pas suffisamment utilisées pour arriver à une certaine efficacité. A méditer.

Bonne nouvelle, les terrains municipaux cédés à 1 euro, c'est fini !

La municipalité s'est enfin résolue à une position plus sage : un terrain situé Boulevard Napoléon et destiné à la construction de nouveaux immeubles va être cédé à Vilogia (un bailleur social) au prix approuvé par France Domaine, c'est à dire aux alentours de 30 euros ht le m².

De deux choses l'une : soit les protestations de l'URM sur les cessions précédentes à Partenord ont porté leur fruit, soit les bailleurs sociaux ne sont pas tous soumis au même régime... faîtes votre choix !

Le conseil d'administration de l'URM a tenu à manifester son soutien à Fernande Musslin et Jérôme Garcia et vous pourrez découvrir le communiqué de presse qui a été envoyé à La Voix du Nord.

>>> lire le communiqué

Suite à une agression verbale subie de la part de maire de Mons-en-Baroeul, Fernande Musslin a pris la décision de démissionner de son mandat de conseillère municipale de Mons en Baroeul.

Des attaques inadmissibles

Il est vrai que les attaques de Rudy Elegeest, autant dans la forme que sur le fond, sont inacceptables et relèvent de la plus évidente volonté de nuire. Rudy Elegeest a publiquement accusé Fernande Musslin de soutenir l'extrême droite. Non, Fernande Musslin ne soutient pas l'extrême-droite. Ceux qui la connaissent savent bien que les thèses défendues par le FN sont à l'opposé même des convictions les plus profondes de l'interessée.

Les raisons d'un dérapage

C'est le refus de Jérôme Garcia d'appeler à voter pour le PS et ses alliés pour le second tour des Cantonales qui a mis le feu au poudre... décision motivée essentiellement par le refus de donner une "consigne de vote": on n'est jamais propriétaire des voix des électeurs. Ne pas donner de consigne de vote ne signifie pas qu'on soutient l'un ou l'autre des deux camps.

On peut approuver ou désapprouver cette prise de position, mais on n'a pas le droit d'en tirer des conclusions absurdes sur les convictions de Jérôme Garcia. Ils auront d'ailleurs été nombreux les militants et sympathisants UMP qui aurant voté par Alexandra Lechner au second tour des cantonales... Pas pour plaire au maire. Ils ont simplement voté en conscience, convaincus que les thèses extrêmistes ne seront jamais celles de la droite républicaine. Même si Rudy Elegeest aime à faire croire le contraire !

> lire l'article dans La Voix du Nord

Comme chaque année depuis maintenant 7 ans, la traditionnelle dictée monsoise a réuni plus d'une centaine de personnes (dont la moitié de monsois) de tous âges...

Touche pas à mon potard*

Un texte riche traitant du petit monde de la pharmacie aura permis aux habitués des officines et aux autres de retrouver les défatigants, les coryzas saisonniers, les compères-loriots et autres bobos et aiguiser la sagacité des esthètes des bons mots qui, comme chacun sait, comptent plus que les grands remèdes !

Mons Promotion Culture

A l'origne de ce événement convivial, une association, Mons Promotion Culture, dont on pourra dire qu'elle participe activement au rayonnement de la ville et deux hommes, Bernard Jumelle, Monsois et président de l'association et Bruno Dewaele, champion de France d'orthographe en 1985, champion du monde 1992 et gagnant de la dictée des amériques en 2006. Du beau monde...

Rendez-vous en 2012

A vos agenda : la dictée 2012 aura lieu le 31 mars ! inscrivez-vous...

>>> découvrir le texte de la dictée

* le "potard" est le nom argotique du pharmacien !

C'est fait, le site internet de la campagne des cantonales 2011 de Jérôme Garcia est désormais en ligne.

Vous êtes invités à le parcourir et, surtout, le faire connaître à tous vos amis du canton... la réussite électorale de Jérôme Garcia passe aussi par des courriels bien ciblés !

www.jerome-garcia-2011.fr

Pitoyable !

L'automobile est un outil essentiel pour de nombreux monsois qui l'utilisent pour travailler ou véhiculer leurs familles... il serait bon que d'aucuns s'en souviennent avant de passer à l'acte !

Trois véhicules récents entièrement détruits, un quatrième partiellement endommagé. L'arbre fait probablement partie des "dommages collatéraux". Pitoyable !

Ce qu'il y a de bien avec les campagnes électorales, c'est qu'elles obligent tout un chacun à se positionner et "choisir son camp".

Solidarité socialiste

La campagne pour les cantonales dans notre canton de Lille Nord-Est n'échappe pas à la règle et, en face de Jérôme Garcia, candidat UMP investi, on retrouve un ticket socialiste (Alexandra Lechner/Sébastien Duhem) qui n'hésite pas à affirmer qu'il pourra compter "sur la machine socialiste, la force de frappe des cinq sections PS du canton et le soutien de Rudy Elegeest, le maire de Mons".

Au moins, de ce coté, les choses sont claires et notre politique municipale, largement inspirée des vues de la section socialiste de Mons trouve-t-elle sa justification !

Et tant pis pour la foule des bien pensants qui s'imagine qu'elle ne soutient que l'homme et pas la pensée socialiste...

Côté écolo ?

Enfonçons encore un peu le clou en nous demandant pourquoi notre maire, qui mène pourtant une politique plus verte que verte, ne soutient pas la candidate écologiste aux cantonales (Christiane Bouchart). C'est Bernard Derosier, monté au front pour soutenir les candidats socialistes du canton, qui donne la réponse : "On a une politique de développement durable, je défie les Verts de faire autrement". Voilà qui est dit.

Une alternative possible

L'Union pour le Nord présente des candidats issus de la majorité présidentielle dans tous les cantons renouvelables. Ils sont souvent jeunes et pourraient marquer un renouveau dans le Nord, face à une majorité sclérosée dont on ne finit pas de payer (au sens propre) les errements et a priori idéologiques.

>>> lire la présentation de la candidature socialiste dans la Voix du Nord

L'Irréductible Monsois ouvre ses colonnes au candidat Jérôme Garcia... puisque c'est en qualité de candidat aux cantonales de mars 2011 qu'il s'est adressé aux militants et sympathisants UMP réunis le 08 janvier salle Dom Bosco pour la cérémonie des voeux 2011.

Un programme de reconquête

Jérôme Garcia n'est pas là pour faire de la figuration, même s'il s'attaque à une citadelle détenue depuis 10 ans par les socialistes. Sa candidature se place dans une logique de combat contre les abus de la gestion de nos instances départementales par la coalition socialistes/communistes/verts. Il met volontiers le doigt sur la gabegie de la gestion départementale et les errements dus à l'absence d'une véritable volonté politique en faveur du département.

Trop d'impôts pour trop peu de résultats

Notre département cumule une pression fiscale difficilement supportable et en hausse constante (sauf en année pré-électorale...) et des performances nettement en deça de celles des régions comparables. Le taux de chômage départemental figure parmi les plus élevés du territoire et même celui de Lille Métropole montre que nous sommes à la traîne. Pour Jérôme Garcia, l'absence d'un réel soutien aux entreprises créatrices de richesse et d'emplois est en cause et les idéologues socialistes continuent à vouloir ignorer ce qui pourrait faire gagner le Nord.

Une politique de santé bien malade

Autre point de désaccord important sur la politique départementale, la politique de santé publique. Notre département cumule en effet les "records" et notre espérance de vie reste parmi les plus basses de l'hexgone...

Proposer des solutions

Pourquoi faisons-nous moins bien que certains départements comparables et certaines autres grandes métropoles ? Les raisons sont à chercher dans la mauvaise gouvernance départementale et régionale, les dépenses inutiles et l'absence d'une réelle vision polique d'avenir. Le département du Nord dispose de nombreux atouts, géographiques, économiques et humains, à nous de les faire fructifier...

> Lire le compte rendu de la cérémonie des voeux dans la Voix du Nord

> Découvrir le site du Collectif Nordiste contre la Fiscalité Socialiste dont Jérôme Garcie est l'initiateur

Bien connu des milieux associatifs et politiques monsois, Georges Goossens est décédé le jour de Noël, à l'âge de 62 ans.

Son parcours, varié, l'a amené des rangs du RPR à ceux de l'équipe de Rudy Elegeest... il a d'ailleurs été élu municipal de 1995 à 2008, d'abord dans l'opposition à Marc Wolf puis dans l'équipe dirigeante.

Le réseau de chauffage municipal alimente un nombre important de foyers monsois et de nombreux équipements publics. Le réseau s'étend essentiellement sur le Nouveau Mons mais alimente aussi la résidence de l'Europe. Autant dire que les questions énergétiques ne peuvent laisser froids les intéressés...

Empreinte carbone

Il se murmure que la mairie réfléchit actuellement à un changement de combustible pour réduire d'autant l'empreinte carbone de cet équipement. A l'origine, Mons énergie brûlait du charbon. Lors de la rénovation en 2002, la centrale est passée au gaz et on réfléchit dorénavant à utiliser un "nouveau" combustible : le bois.

De quel bois se chauffe le maire ?

Effet facile certes, mais il est bon de se poser la question : le passage au bois aurait un impact écologique important certes, mais pourrait aussi avoir un impact économique non négligeable. En effet, nous importons 100 % de notre gaz alors que nous sommes, en principe, aptes à produire notre bois de chauffage dans des conditions économiques acceptables. Il faudrait alors s'assurer que ce sera bien la région qui sera la bénéficiaire de l'opération en fournissant le bois de chauffage de l'installation.

En attendant, bonnes bûches... de Noël !

Il est encore temps...

Pour les scrutins de 2011 (élections cantonales des 20 et 27 mars 2011), il est encore temps d'aller s'inscrire sur les listes électorales !

La date limite est fixée au 31 décembre 2010, il est donc préférable de ne pas trainer et se rendre en mairie pour se faire inscrire.

Hôtel de ville, ce 3 décembre 2010.

La neige, le verglas et le froid n'ont pas entamé la motivation des correspondants de quartier qui remplissent la salle du 1° étage de la mairie.

Le passage au numérique

Une réunion consacrée aux bouleversements télévisuels qui vont se dérouler le 1° février 2011. Non, ce n'est pas la retour de votre série favorite, mais bien le passage au "tout numérique". La "bonne vieille" télé analogique de papa aura cessé d'émettre et, pour pouvoir visualiser les programmes, il faudra équiper son vieux poste d'un décodeur numérique ou s'équiper d'un téléviseur numérique récent.

Eviter les arnaques

Lors de tels changements, nombreux sont ceux qui se précipitent dans leur magasin favori. L'accent est mis sur la nécessité de garder la tête froide et ne pas se laisser refiler n'importe quel matériel. Un décodeur de qualité standard pour équiper une télévision non numérique coûte entre 20 et 30 euros. Plus cher, il disposera certes de services supplémentaires, assez souvent inutiles... Pour les téléviseurs numériques, la prudence s'impose aussi. Attention aux offres trop alléchantes surtout destinées à écouler des stocks de nanars. Choisissez des téléviseurs Full HD (et surtout pas du HD ready) et privilégiez la norme Haute Définition (norme 1080i).

Les particularités monsoises

Presque tous les foyers monsois sont reliés au câble municipal et cela devrait en principe faciliter la transition : pas d'antenne à régler, un balayage des nouvelles chaines suffira. Le passage au tout numérique devrait en passant améliorer la qualité globale du service sur Mons car il permettra en quelque sorte un nettoyage de la bande.

Pour en savoir plus, plusieurs possibilités :

• un site internet dédié à la question www.tousaunumerique.fr
• un numéro de téléphone non surtaxé : 0 970 818 818

L'entreprise en charge du réseau câblé monsois est la société ERT. Elle est responsable de la bonne arrivée du signal dans votre domicile (pas du réglage de votre téléviseur !) et peut être jointe au 03 20 33 40 41.

Le dernier numéro du journal de l'opposition municipale de Mons est dans votre boite aux lettres. Une nouvelle fois, l'équipe de distributeurs a prouvé sa motivation et son efficacité.

Vous souhaitez retrouver un article en ligne ?

Aucun souci, ce numéro est aussi disponible sur le blog !

D'année en année, la mobilisation autour du Mons Téléthon prend de l'ampleur avec le soutien de très nombreuses associations monsoises.

Un Mons Téléthon solidaire

De nombreuses manifestations sporti- ves ou culturelles permettront de récol- ter des fonds au profit de l'A.F.M. (association française contre les myopathies) et offriront à tous les monsois un week-end à la fois festif et solidaire.

Un programme riche

Le programme de l'édition 2010 est riche et les rendez-vous nombreux, du 3 décembre au 5 :

• 3 décembre de 14 à 17 heures : rendez-vous à la mairie pour la récuperation des dons.
• 3 décembre à 16 h 30 : vente de gâteaux et de crêpes à la sortie des écoles.
• 3 décembre à 19 h 30 : repas dansant et démonstration de danses contry.
• 4 à 14 h 30 : la belote du Téléthon, groupe scolaire Renaissance rue Bossuet.
• 5 de 9 h à 12 h : démonstration de judo au Judo Club de Mons
• 5 de 10 h à 12 h : vente de boules de Noêl à la Piscine Municipale.
• 5 de 15 h à 19 h : spectacle à la salle Allende avec le North Gospel Quartet et de nombreux autres artistes.

Venez nombreux !

Le nouveau site internet édité par le Collectif Nordiste Contre la Fiscalité Socialiste est en ligne. Au sommaire, des informations sur la chappe fiscale qui pèse sur les nordistes et des propositions pour une autre politique.

Découvrez comment la mauvaise gestion de nos instances départementale et régionale grève notre pouvoir d'achat sans bénéfice tangible pour la défense de l'emploi et l'amélioration du cadre de vie. Ouvrir le site

Lors de l'assemblée générale annuelle MJC qui se tenait ce 8 octobre 2010, l'assistance a vu se dérouler sous ses yeux le triste spectacle d'une déconfiture annoncée.

Gestion sans contrôle

Organisme largement financé par la municipalité, la Maison des Jeunes et de la Culture a été obligée d'annoncer que l'état de ses finances l'obligeait à se déclarer en cessation de paiement et licencier 5 membres de son personnel.

Mais où est donc le contrôle de la gestion de cette instance dont la mairie occupe pourtant de droit un siège au conseil d'administration et finance -largement- les activités ?

Des décisions à prendre

Au delà du constat effectué, des décisions sont à prendre et l'URM entend demander à siéger au conseil d'administration de la Maison de la Jeunesse et de la Culture de Mons en Baroeul. Cela permettrait au moins de garantir le pluralisme et un contrôle démocratique par l'opposition, comme cela se pratique en certaines instances nationales...

Un communiqué de presse a été rédigé pour faire connaître la position officielle de l'Union pour le Renouveau Monsois.

Communiqué de Presse

Les élus de l'Union pour le Renouveau Monsois déplorent les difficultés financières rencontrées par la MJC de Mons en Baroeul.

Nous ne comprenons pas que, lors du vote annuel des subventions municipales, la majorité municipale n'ait pas une seule fois fait mention de ces difficultés. C'est donc avec le plus grand étonnement que nous apprenons, bien trop tard, la situation catastrophique qui aboutit à la cessation de paiement et au licenciement de 5 personnes.

Si ces difficultés avaient fait l'objet d'un débat au sein du conseil municipal, suffisament tôt, il aurait été possible de travailler à des solutions.

Il est facile aujourd'hui pour Rudy Elegeest de se cacher derrière "les erreurs de gestion " (La VdN du 10 octobre 2010). Il a engagé l'argent de notre commune sans le niveau de contrôle nécessaire. Après les difficultés de la Mission Locale, voici encore un exemple de gestion financière désastreuse.

L'URM souhaite que la lumière soit faite sur le rôle des uns et des autres. Nous souhaitons également que l'activité de la MJC soit pérennisée tout en contrôlant mieux l'octroi des subventions.

Jérôme Garcia

En parcourant le Nouveau Mons, chacun est déjà passé devant un de ces édifices en se demandant pourquoi ils n'étaient pas encore enterrés...

La raison en est simple, ils sont classés !

Ces transformateurs électriques ont été dessinés par l'architecte Henri Chomette, le maître d'œuvre de la ville nouvelle et ont été classés en même temps que les sculptures qui ornent la pyramide (l'ancienne chaufferie municipale). On y retrouve la "pointe de diamant" qui est en quelque sorte sa marque de fabrique.

Décidément, notre Nouveau Mons n'a pas fini de nous étonner.

Première pierre

Tout ce que la commune compte de sommités s'était donné rendez-vous à La Mondiale ce 20 septembre pour l'inauguration du nouveau siège social de l'entreprise. Poser une première pierre est tout un art et la représentante de l'opposition municipale présente à la cérémonie n'a rien manqué du spectacle.

Ostracisme ?

De nombreux conseillers municipaux de la majorité étaient présents, même si on ne dénombrait qu'un unique socialiste... le PS se désintéresserait-t-il de la vie économique de la commune ?

L'emploi au prix d'une volonté politique

L'URM pour sa part se félicite de compter sur le territoire communal une entreprise aussi dynamique et qui plus est citoyenne avec des apports tels que le centre de formation des aide-soignantes, la crèche d'entreprise ou les Jardins de Thalie.

Nous voulons que notre commune devienne enfin accueillante pour les entreprises, car l'emploi est la première des priorités. Mons a des atouts pour accueillir plus d'activités, il faut absolument les développer avec l'appui d'une véritable volonté politique.

photo VdN©

>>> voir aussi l'article dans la Voix du Nord

LMCU (comprenez Communauté urbaine de Lille ou, pour être au goût du jour, Lille Métropole) va voter prochainement la délibération 10C0063, qui nous apprend que Lille Métropole cédera ses terrains valorisables aux bailleurs sociaux à 30 euros du m² dans le cadre du plan ANRU !

Et pendant ce temps, la ville de Mons en Baroeul, cède ses terrains à ces mêmes bailleurs sociaux pour 1 euro du m².

Scandaleux et risible !

L'actualité nationale, avec ses outrances et ses prises de positions de principe nous donne chaque jour des informations contradictoires sur le dossier de la reconduite à la frontière des Roms en situation irrégulière en France.

La politique locale va à un autre rythme, mais elle nous confronte parfois à la mise en pratique nos bons principes...

Acte 1

Lors du conseil municipal d'avant les grandes vacances, une déliberation a concerné l'aménagement d'un terrain d'accueil pour les "gens du voyage" et l'opposition municipale a soutenu le projet et voté en faveur de la construction de ce terrain d'accueil.

Acte 2

Cet été, le campement Rom de Mons en Baroeul, peuplé essentiellement par des personnes en situation irrégulière, a été évacué par les forces de l'ordre. Cette opération a été effectuée dans un cadre légal, par des forces de police qui ont simplement fait respecter la loi. Le groupe URM a pris acte de cette évacuation et a de nouveau souligné son attachement aux valeurs républicaines.

Une position mesurée

Notre prise de position estivale n'est pas un blanc seing à l'arbitraire. Nous sommes extrêmements vigilants à ce que le respect de la dignité de la personne humaine soit le préalable à toute action politique. Et cela passe aussi par l'intervention policière lorsque la situtation le rend indispensable.

Un canton à (re) conquérir

L'UMP a publié ce week-end la liste des candidats investis pour les cantonales 2011. Pour notre canton (Lille Nord-Est), c'est Jérôme Garcia, conseiller municipal de Mons en Baroeul et président de l'Union pour le Renouveau Monsois qui se lance dans la bagarre... dans un canton actuellement détenu par le parti socialiste et qui a déjà habitué les électeurs à l'alternance. Acceptons-en l'augure !

Voix du Nord

Dans un article daté du 05 septembre 2010, le quotidien régional titre "Trois cantons où l'UMP a tout à gagner, rien à perdre"... tout en confondant le canton où se présente Hervé-Marie Morelle (le président des Jeunes Populaires) avec celui que brigue Jérôme Garcia.

Mais les intéressés et les monsois auront rectifié d'eux-même.

On parle de Mons en Baroeul sur le Tour de France ?

Pourtant, la grande boucle n'est pas passée par notre commune... alors, de quoi s'agit-il, rédacteur facétieux, comment peut-on allier notre ville et la célèbre course cycliste ?

AG2R La Mondiale

La réponse est dans la nouvelle dénomination de l'équipe cycliste professionnelle* bien connue des amoureux de la petite reine, l'équipe AG2R, devenue cette année AG2R La Mondiale avec le rachat de la première par la seconde...

Un succès bien monsois

On enfoncera des portes ouvertes en rappelant les origines monsoises de l'entreprise, devenue au fil des années un acteur majeur des sociétés d'assurances de la personne. Sur le site de Mons en Baroeul, La Mondiale, c'est tout de même 1500 collaborateurs, avec le siège social rue Emile Zola, un centre de formation et une crèche d'entreprise rue du Quenelet... l'initiative privée montre le chemin !

>>> le site officiel de La Mondiale

>>> le site de l'équipe AG2R La Mondiale

* au fait, si vous n'aimez pas le vélo, la mondiale est aussi partenaire de la Route du Louvre, chère aux marathoniens...

9 juillet 2010

Quelques irréductibles (monsois) bravent la canicule et se donnent rendez-vous devant les grilles de la préfecture.

A l'heure dite, Jean-René Lecerf, sénateur du nord, nous accueille à l'entrée des locaux historiques du Conseil Général pour une visite richement commentée.

Un peu d'histoire

Les conseils généraux ont été mis en place lors de la révolution française, ils étaient la courroie de trans- mission du pouvoir central dans les départements tout juste créés. C'est d'ailleurs pour cette raison que leurs locaux sont intégrés dans ceux de la préfecture dont ils dépendaient initialement. Les conseillers généraux deviennent des élus du peuple en 1848... et le sont toujours en 2010 ! L'amphithéâtre qui nous accueille a été construit entre 1853 et 1870 et il est toujours utilisé par les 79 conseillers généraux du département pour les séances plénières.

Des missions au service des nordistes

Les compétences du CG 59 sont nombreuses, des routes aux collèges, de la solidarité aux fonds d'aménagement. Le RSA (revenu de solidarité active), mais aussi l'APA (allocation personnes âgées) ou la PCH (personnes handicapées) dépendent de lui. Les quelques 8500 agents du départements, sans compter les 2000 assistantes maternelles donnent une idée de l'énormité des tâches à accomplir.

Sur fond de réforme

La réforme des collectivités territoriales se poursuit et l'élection de 2011 sera la dernière pour les conseillers généraux qui seront ensuite des conseillers territoriaux (pour le détail des réformes, voir la conférence donnée par le même Jean-René Lecerf à l'URM en 2009).

Autour d'une bière

La visite se poursuit par un passage en préfecture (les locaux sont contigus et imbriqués les uns dans les autres), un verre de l'amitié réunit tout le monde autour d'une bière brassée dans le département (tout de même !) ou d'un jus d'orange (désolé, pour les oranges, on sait pas faire du made in ch'ti !). Une visite instructive au cœur de nos institutions. Rendez-vous est donné en septembre pour la visite de l'assemblée nationale.

Des sites à visiter

> le blog de Jean-René Lecerf

> le site de l'Union pour le Nord
   (le groupe de la majorité présidentielle au Conseil Général)

Communiqué de presse

Un accident de la circulation particulièrement violent s'est produit hier soir au carrefour de la rue Voltaire et de la rue Gambetta, à la frontière entre Mons-en-Baroeul et Hellemmes. Cet accident, dont j'ai été le témoin, n'a fait heureusement aucune victime.

Cependant, de nombreux riverains présents sur les lieux ont attiré notre attention sur le caractère dangereux de ce carrefour et le fait que de nombreux véhicules descendent la rue Voltaire à une vitesse excessive. Des habitants d'Hellemmes ont fait parvenir à Gilles Pargneaux une pétition sur ce thème, sans succès.
Afin d'éviter de nouveaux accidents, dont les conséquences humaines pourraient être bien plus graves, l'URM appelle les maires de Mons-en-Baroeul et d'Hellemmes a apporter enfin une solution au problème de ce carrefour. Il est permis d'imaginer que l'installation d'une plate-forme légèrement surélevée au niveau du carrefour ou l'installation de feux tricolores permettrait de réduire le risque d'accident.

J'ai attiré l'attention du maire de Mons-en-Baroeul ce jour. Celui-ci pense qu'il n'existe pas de solution hormis le contrôle de vitesse par la police. Nous ne partageons pas ce point de vue.

Jérôme Garcia
Conseiller municipal de Mons-en-Barœul

Lire l'article dans la Voix du Nord
 

A mi-chemin d'un mandat, l'heure des premiers bilans arrive. L'équipe municipale en place a été élue en 2007, les prochaines élections auront lieu eu 2014. L'opposition municipale travaille et l'assemblée générale de l'Union pour le Renouveau Monsois qui s'est tenue le 29 mai 2010 a permis de mettre en lumière ce qu'a été son action sur le terrain.

Une force d'opposition au travail

l'URM a quatre ans et est installée dans le paysage monsois comme étant l'opposition municipale. Son objectif premier est toujours de porter une équipe à la mairie et c'est dans cette perspective qu'elle travaille en jouant son rôle au conseil municipal, en faisant réagir l'équipe en place sur les dossiers chauds, en informant les monsois sur l'autre actualité de la ville, en agissant sur le terrain pour soutenir les monsois qui rencontrent des difficultés nécessitant un appui.

Les actions 2009/2010 illustrent s'il en était besoin la présence réelle de l'URM dans la vie monsoise: présence assidue aux conseils municipaux et prises de positions sur les dossiers à l'ordre du jour, présence dans les médias avec des interventions régulières dans la presse, un bulletin imprimé qui en est à son troisième numéro, un blog régulièrement mis à jour, des tracts ponctuels distribués aux personnes concernées par un dossier précis. Présence sur le terrain avec la participations aux trois grandes braderies monsoises, de nombreux volontaires dans les bureaux de votes lors des derniers scrutins, des visites comme celle qui a lieu au conseil régional.

Les projets sont nombreux et, dans les prochains mois, sont programmés une opération tract pour réagir sur la douteuse opération Partenord rue Milliez, l'édition d'un bulletin imprimé (n° 4), une visite à l'ssemblée nationale programmée le 30 septembre 2010.

Des projets municipaux qui piétinent

La seconde partie de l'assemblée générale a permis à Jordi Zuniga, conseiller municipal, d'intervenir pour dresser un bilan de mi-mandat de la mise en oeuvre de l'ANRU. A mons, on pourrait d'ailleurs rebaptiser l'ANRU en Agence Nationale pour les Retards Urbains, tant les réalisations ne sont pas à la hauteur des espérances. Les chantiers réalisés sont peu nombreux (Concorde, Jasmin) et étaient déjà démarrés avant 2007. Les autres grands chantiers sont toujours dans les cartons ou dans les phases de validation préliminaires. Or, la règle de base pour que les financements ANRU promis soient réellement obtenus est que tous les travaux prévus dans la convention signée doivent être entamés dans les 5 ans de la signature. Reste donc 2 ans.

Elections internes

On ne termine pas une assemblée générale sans élection et celle de l'URM n'a pas manqué à la règle. Le rapport moral a été voté à l'unanimité moins une abstention, le rapport financier a été approuvé à l'unanimité (merci en passant à notre trésorier !) et le nouveau conseil d'adminitration a pu être élu pour se (re)mettre rapidement au travail.

Les établissements accueillant des personnes agées vont bientôt vivre leur révolution tranquille... avec l'embauche récente d'un nouveau responsable, Monsieur Henri Dubourg, pour les trois établissements. Il est chargé depuis quelques mois d'imaginer une nouvelle politique et mettre en place des synergies pour les deux EPHA (Mille Roses rue Montesquieu et Cèdres rue Léon Blum) et de L'EPHAD des Bruyères allée Rubens, sans oublier les services de l'accueil de jour (rue du Général de Gaulle) et celui des soins infirmiers à domicile .

Qu'ils aient eu trois fois vingt ans, quatre fois ou plus, les seniors monsois se sont retrouvés ce 24 avril pour le traditionnel banquet des ainés qui s'est tenu dans la grande salle du fort de Mons.

Un après-midi festif et convivial qui a rassemblé un bon millier de convives, sans compter les résidents des 1000 roses, des Cèdres et des Bruyères qui bénéficiaient eux aussi du menu de fête concocté par le traiteur.

Les danseuses et danseurs n'ont pas été en reste et on en vient à se demander qui, des jeunes ou des moins jeunes a donné une leçon de vitalité aux autres !

La revue Challenges a fait paraître son classement des communes les mieux gérées et... Mons en Baroeul figure en bonne place dans le palmarés.

Explications

La note générale obtenue par la ville (3 étoiles) équivaut à un "très" bon classement. Cependant, les critères retenus pour l'évalutation des communes sont de natures diverses et nous donnent des informations nettement plus intéressantes:

• La rigidité. Elle caractérise la marge de manoeuvre de la ville, une fois qu'elle a payé ses "dépenses courantes".
• Le service (de la dette). Comme nous n'avons pas ou peu de dettes, notre résultat est "forcément" bon.
• La solvabilité. Il s'agit d'un ratio entre la dette à rembourser et les recettes. Comme pour le précédent, il est mécaniquement bon.
• La fiscalité. Nous faisons partie des bons élèves, cela correspond bien à la réputation de la ville.
• Les réalisations. Ce critère est utilisé pour mesurer l'écart entre les prévisions et les réalisations.  Nous obtenons un tiret, ce qui équivaut à une note inférieure à 8 sur 20.

Tout se gâte...

La commune de Mons en Baroeul aurait du mal à réaliser ce qu'elle projette ? ou bien aurait-elle tout simplement du mal à se projetter sur le long terme, faute d'une vision claire de la ville ?

Bon, là on s'égare, c'est le virus de la politique qui nous reprend... ah ! que le tableau serait beau si il n'y avait des opposants qui ne font rien qu'à chercher la petite bête !

>>> lire l'article de Challenges

Chers amis,

Les Monsois sont appelés de nouveau aux urnes ce pour le second tour des régionales.

Les résultats du premier tour à ne sont guère satisfaisants pour la liste de droite et du centre conduite par Valérie Létard, à Mons (17%), comme dans la région (19%).

Il est clair que les questions nationales se sont invitées dans cette élection locale et ont joué en notre défaveur. Elles ont occulté le débat de fond régional qui aurait permis de faire le bilan de 40 ans de gestion socialiste dans le Nord-Pas-de-Calais.

Ce bilan nous place dans les derniers rangs des classements des régions en matière de chômage, de pauvreté, de logement, d'espérance de vie et de démographie. A nous d'expliquer à nos concitoyens que c'est ce bilan là qu'il s'agit de sanctionner et que seule une nouvelle équipe pourrait changer la trajectoire de notre région.

Ce travail de reconquête passe par l'exigence de disposer d'un nombre maximal d'élus qui partagent nos convictions au conseil régional.

J'appelle donc à une mobilisation de chacun d'entre vous afin de convaincre vos proches ou vos voisins d'aller voter le 21 mars pour la liste de Valérie Létard.

Quoi qu'il en soit, j'espère avoir l'occasion de vous croiser dans un bureau de vote ce !

Bien fidèlement.

Jérôme Garcia
Conseiller municipal de Mons en Baroeul et président de l'URM
 

Nous aurons bien le temps,

après le second tour,

de nous demander si la campagne a été bonne,

si les choix de têtes de listes ont été judicieux,

si nos "grands hommes" (et femmes) ont valeureusement défendu nos projets et nos idées...

Pour le moment, nous sommes au milieu du gué, et l'eau monte...

il y a urgence !

Allons voter, et -surtout- faisons voter autour de nous.

Si chacun électeur UMP amène un abstentionniste au bureau de vote, il n'aura pas perdu son temps...

>> Le détail des listes en présence au second tour

où plus exactement la convention partenariale pour la mise en oeuvre de microcrédits.

De quoi s'agit-il ?

Salle du conseil municipal, le 10 mars 2010, sont réunis pour un événement peu commun, le maire, plusieurs adjoints, des banquiers, plusieurs membres du CCAS et les représentants de Parcours Confiance.

Lutter contre la précarité

C'est bien de cela qu'il s'agit, la pauvreté et la précarité augmentent et les initiatives qui visent à permettre des sorties "par le haut" sont à encourager.

Parcours Confiance propose des micro-crédits aux exclus du système bancaire. Ils peuvent être à caractère social, pour aider le bénéficiaire à résoudre un souci personnel ou lui permettre un retour rapide à l'emploi. Ils peuvent aussi servir à soutenir des projets de création de micro-entreprise en aidant le bénéficiaire à créer son propre emploi.

Cette association est une émanation de la Caisse d'Epargne qui rappelle, dans son discours de présentation, sa vocation originelle de prévoyance et sa culture d'entreprise qui l'oriente naturellement vers le crédit social.

Sur le terrain, les membre de Parcours Confiance ne se contentent pas de prêter de l'argent à taux préférentiel, ils s'occupent aussi d'accompagner les bénéficiaires car si la sortie de précarité est question d'argent, elle est aussi et surtout question d'environnement positif et de soutien humain personnalisé.

Une convention qui fait l'unanimité

Diana Da Conceiçao, consillère municipale socialiste de Mons en Baroeul a insisté sur l'unanimité qui s'était très vite faite à propos de cette convention. Nous ne pouvons que nous réjouir de cet état d'esprit et il est réconfortant que l'urgence sociale puisse être traitée dans la sérénité, loin des clivages politiques.

Le maire, dans son long discours, a pour sa part mis en avant les autres actions sociales spécifiques de la ville en présentant la convention micro-crédit comme un complément, loin des actions de prêteurs peu scrupuleux qui ne font qu'enfoncer leurs clients dans la spirale du surendettement.

Pour un peu, on se serait cru à une présentation du programme de la démocratie chrétienne...

>>> en savoir plus sur Parcours Confiance

À quelques jours de l'échéance des régionales 2010, l'heure du bilan de 23 ans de socialisme dans notre région est venue.

Sur la dernière mandature "socialo-communo-écolo" du conseil régional, nos concitoyens ont subi une hausse de 21% de la taxe foncière payée par les ménages. Depuis 2004, c'est à un véritable matraquage fiscal que nous assistons: +26% sur le foncier bâti, + 21% sur le foncier non bâti, +3 % sur la carte grise. La taxe professionnelle payée par les entreprises a augmenté de 24%. Ce matraquage fiscal et cet acharnement sur les entreprises sont-ils raisonnables ?

Un "front de gauche" qui coûte cher aux citoyens

Bien qu'ils présentent des listes indépendantes au premier tour de ces élections régionales, l'alliance de gauche dans le Nord Pas-de-Calais s'entend parfaitement quand il s'agit d'augmenter les frais de fonctionnement de la région. Le résultat ? une dette qui passe de 295 € à 352 € par habitant entre 2004 et 2009. Par comparaison, la dette de la région Basse-Normandie est passée de 75 à 111 par habitant sur la même période. Le Nord Pas-de-Calais occupe la troisième place du podium des régions françaises les plus endettées avec 1,4 milliards d'euros de dettes. Qui paiera cette dérive budgétaire ? Nous !

Des intentions en contradiction avec les actions

Les Verts souhaitent "transformer" l'économie du Nord Pas-de-Calais, mais quel bilan économique présentent-ils, alors qu'ils sont présents dans la majorité de gauche depuis plusieurs années ?

Le PCF veut inscrire la région dans le top 5 des régions françaises (VDN, 29 Nov. 09) en rendant "sa dignité" à la région alors qu'ils la codirigent depuis maintenant 23 ans.

Il est temps de placer les uns et les autres devant leurs contradictions !

La politique économique des gouvernants de notre région est catastrophique. Le Nord-Pas-de-Calais est le pire élève en ce matière d'emploi avec près de 13 % de chômage en 2009, soit le taux le plus élevé des régions françaises. L'absence de politique régionale en matière aboutit à cet échec cuisant.

Une région malade et mal gérée

L'hebdomadaire l'Express a réalisé en 2006 une enquête sur les départements français en utilisant 42 indicateurs tels le logement, l'éducation, la santé, etc. Le Nord est classé 73 ème sur 96, le Pas-de-Calais arrive en 78 ème position. Consternant. Une autre étude datant de 2005 et réalisée par le ministère des sports a classé le Nord Pas-de-Calais arrive en 20 ème position sur 22 dans le classement des régions les plus sportives.

Des ressources mal empployées

La majorité de gauche n'a pas su utiliser les nombreuses ressources de notre région : une culture d'entreprise, une force de travail reconnue, une situation géographique privilégiée, une base industrielle forte.

Les propositions de la droite et du centre

Le bilan de Jean-Louis Borloo et Valérie Létard à Valenciennes sont des indicateurs de ce que pourrait faire une région Nord Pas-de-Calais mieux gérée... Que ce soit à Valenciennes ou dans les communes de l'agglomération, la volonté et le travail d'une équipe motivée a réussi à redynamiser tout le secteur. Les réussites sont nombreuses : reconversion économique, rénovation urbaine, investissement sur les nouvelles technologies, ouverture de la ville sur l'Europe, formation universitaire, etc...

Pour une région qui crée des emplois, une région solidaire, une région qui améliore le cadre de vie, les prochaines élections régionales sont une chance à saisir pour changer d'équipe et donner un nouveau souffle.

La gauche n'a qu'une seule idée pour les élections régionales : sanctionner l'UMP. C'est court.

Ne pas voter ou reconduire la liste socialo-verte-communiste dans la région serait à coup sûr un vote sanction pour nous, habitants du Nord Pas-de-Calais.

Prenons un nouveau départ avec l'équipe réunie autour de Valérie Létard.

Le troisième numéro de votre Irréductible Monsois "imprimé" a été glissé dans votre boite aux lettres durant le mois de février 2010. Il a été distribué bénévolement, cela va de soi, par une équipe militante engagée sur Mons en Baroeul. Qu'elle en soit remerciée !

Ce numéro 3 est désormais disponible en ligne. Vous pouvez donc toujours le faire connaître autour de vous !

Le mois de mars sera bien entendu celui des élections régionales. Dans chaque bureau, les militants URM seront présents. Ces efforts consentis pour être présents et visibles montrent à tous l'implication de toute l'équipe de l'opposition municipale.

Alors, allez voter et faites voter autour de vous.

Les petits ruisseaux font les grandes rivières...

Nous vous l'avions annoncé dans notre précédent billet, nous avons écrit à Madame le ministre de la santé.

Vous pouvez télécharger le courrier, le lire et le faire lire autour de vous.

>>> lettre au ministre

L'antenne locale de la CPAM doit fermer ses portes en 2010, et celà de la volonté unilatérale de la caisse maladie. Son directeur général est venu l'annoncer lui-même au maire de Mons le 12 janvier 20010.

Services publics de proximité

Décision regrettable à plus d'un titre car c'est un service public qui disparaît, au profit d'un regroupement dont l'intérêt n'apparaît pas clairement aux utilisateurs qui devront désormais utiliser leur véhicule ou, à défaut, des transports en communs peu pratiques pour se rendre sur Fives.

La mairie s'est émue de la situation et une motion a été votée au conseil municipal. Bien entendu, les conseillers URM se sont associés à cette motion et ont voté pour, tout en regrettant un peu honnête mélange des genres (dans le texte voté, on trouve pêle-mêle la CPAM, la police et la perception... l'art de noyer une indignation légitime dans beaucoup d'idéologie !).

L'URM a décidé d'agir

Quoiqu'il en soit, les conseillers municipaux d'opposition s'insurgent eux aussi de cette fermeture contre nature. L'URM, sous la plume de son président, va écrire en ce sens à Madame Roselyne Bachelot, la ministre en charge de la santé.

Nous vous tiendrons bien entendu informés des suites données à ce courrier.

Sous ce nom en forme de calembour se cache une association de quartier bien vivante dans le haut de Mons. A l'occasion de l'assemblée générale qui s'est tenue le 19 janvier 2010, nous vous proposons de la découvrir. Suivez le guide.

Créée pour animer le quartier du haut de Mons, ce ne sont pas moins de 80 familles qui la composent et qui participent chaque année à de nombreux événements et à de nombreux groupes d'activités diversifiées.

Evénementiel de proximité

De la braderie (3° de juin) en passant par le repas du rue (en septembre), du cinéma en plein air au repas itinérant, l'asso propose de multiples occasions de rencontres et d'activités, le plus souvent familiales. Des moments forts sont aussi proposés chaque année comme le goûter de la Saint Nicolas (en décembre évidemment!) et l'Ass'show en novembre, moment privilégié pour le spectacle et la danse.

Des groupes réguliers

Qu'il s'agisse de couture, de lecture, de cartes, d'oenologie, de pétanque ou encore de foot en salle, de nombreux groupes se retrouvent en moyenne une fois par mois pour partager leur(s) passion(s) et permettre à leurs membres de nouer des liens. C'est peut être à cela qu'on reconnaît la qualité de l'Ass'Haut : chacun est accueilli et c'est une véritable vie de quartier qui se développe !

>>> visiter le site de l'ass'Haut : www.asshautdemons.org

La cérémonie des voeux fait partie des rituels républicains traidtionnels et la ville de Mons en Baroeul n'échappe pas à la règle...

Auto-satisfaction

Comme chaque année, notre maire s'est lancé dans une grande distribution de bons points dont il est le premier bénéficiaire, cela va de soi. "La ville de Mons construit et s'embellit", tel a été le leitmotiv du discours de l'édile.

Une nouvelle école boulevard Napoléon Premier. Comme il s'agit de remplacer deux écoles par une nouvelle, il aurait mieux valu parler de modification de la répartition des écoles sur le territoire de la commune. C'eut été plus correct.

Le nouveau centre technique municipal. Nous en avons déjà parlé dans ces colonnes et ne reviendrons pas sur l'évidente utilité de cet équipement. Reste à savoir si le coût n'en est pas trop élevé.

La salle de force athlétique et le mur d'escalade... un équipement "indispensable" (!) dont tout le monde se félicite (ah bon ?) et qui ne coûtera pas un centime "de plus" aux monsois... un argument fallacieux s'il en est.

 
Le chantier de la salle d'escalade en janvier 2010, pour une livraison prévue à l'été 2010. Des retards conséquents apparemment dus au site retenu : on se trouve en effet à l'emplacement d'une ancienne barre, juste au-dessus des anciennes caves !

Stabilité fiscale

Notre maire répète à qui veut l'entendre que les impôts locaux des monsois n'augmentent pas. S'il est vrai que la part strictement communale reste stable, celle des autres instances (Lille Métropole, département et région), toutes à majorité socialiste, connait une progression régulière. Le département à lui seul a augmenté la taxe foncière de presque 40 % en 4 ans et la taxe d'habitation de plus de 30 % sur la même période. Alors, à quoi bon parler de stabilité lorsque ses alliés membres du PS et du PC sont responsables d'une envolée des dépenses assez peu commune. Une dépense, fut-elle prise en charge par Lille Métropole, le Conseil Général et le Conseil Régional est de toute évidence financée par l'impôt et donc par l'impôt des monsois.

Si cela ne va pas, c'est la faute à l'état

Dans tout discours de rhétorique, il faut un bouc émissaire... dans celui de Rudy Elegeest, il ne faut pas aller très loin pour comprendre que tout ce qui pourrait ne pas aller ne peut venir que de l'état qui ne tiendrait pas ses engagements. Refrain connu. Les observateurs avertis savent quant à eux que la dotation de l'état n'a fait qu'augmenter ces dernières années et qu'en terme de respect des engagements, l'état n'a ici rien à se reprocher.

Il y a des jours, je me demande même si le soutien apporté au maire de Mons en Baroeul par certains élus pudiquement appelés apolitiques ne relève par de la pure schizophrénie...

Après une année riche en événements et en rencontres (accueil de Jean-René Lecerf, visite du Conseil Régional, braderies, etc...), l'URM tourne la page de l'année 2009 et se prépare à une année 2010 qui sera encore une année d'actions à mener pour que les couleurs de l'opposition municipale soient visibles à Mons en baroeul... de beaux combats en perspective, des élections régionales à préparer... bref, du pain sur la planche.

L'URM souhaite une excellente année 2010 à toutes les monsoises et tous les monsois, qu'elle leur apporte santé, sérénité, travail et leur permettre de vivre dans de bonnes conditions dans une ville accueillante dont ils pourront être fiers !

Sous le titre "Ces monsois qui entreprennent", ce ne sont pas moins de quatre pages qui sont consacrées dans l'organe officiel de la mairie* aux créateurs d'entreprise d'origine monsoise ou qui s'implantent sur Mons en Baroeul.

Changement de cap ?

Notre maire avait jusqu'à présent opposé une fin de non recevoir pleine de suffisance à toute suggestion d'accompagnement économique aux entreprises et aux créateurs d'entreprises: "C'est une compétence communautaire !". Alors, aurait-il changé de point de vue ? ou bien cherche-t-il à surfer sur une vague de succés dont il n'est que spectateur ?

Des entrepreneurs qui ont foncé sans attendre

C'est bien dans la seconde partie de l'alternative qu'il faut chercher la réponse. Les entrepreneurs dont il est question ont foncé sans attendre, faisant fi d'un trop pratique principe de précaution qui encourage toutes les couardises et tous les attentismes...

David Verbeke (Tartine et Compagnie) ouvre ainsi son troisième établissement sur Villeneuve d'Ascq, Valérie Staes peaufine sa formation pour lancer son projet de création florale événementielle (Des fleurs pleins la tête), Sophie Bacquet poursuit son chemin avec son entreprise installée "à la maison" (Retouches et Bistrucs) tandis que Julien Garrido et Harouna Sow se sont installés rue Corneille pour leur bar à pâtes et pizzas (La Bonne Pâte).

Notre credo : soutenir les porteurs de projets

La volonté d'entreprendre est bien présente dans la population et l'URM affirme, contre vents économiques dominants et marées d'idées toutes faites,  qu'il faut soutenir les entreprises et les porteurs de projets... la réalité du terrain lui donne raison et elle s'en réjouit.

Nous souhaitons bon vent à tous ceux qui ont osé !

contacter les entreprises :

• Tartine et Cie : 03 20 56 94 47 / contact@tartine-et-compagnie.fr
• Des fleurs pleins la tête : desfleurspleinlatete@hotmail.fr
• Retouches et Bistrucs : 03 20 56 06 78 / so.bacquet@free.fr
• La Bonne Pâte : 03 20 56 55 65

* Mons et Vous n° 40 de décembre 2009

Le conseil régional du Nord Pas-de-Calais, à majorité socialiste rappelons-le, annonce sans la moindre vergogne, que pour l'année 2010, il n'y aura pas d'augmentation de la part régionale dans nos impôts locaux, pas d'augmentation des prélèvements sur les entreprises, pas d'augmentation de la texte sur les cartes grises...

Après une année 2009 où le département du nord, socialiste lui aussi, a largement augmenté sa ponction, une année 2010 où on rase gratis ? à voir !

Une logique dans tout cela ?
bien entendu :

2010 est  une année électorale

De qui se moque-t-on ?

A vot(e) bon coeur m'sieur dame... et n'oubliez pas d'aller manifester votre mécontentement en allant voter aux Régionales 2010.

C'est à l'initiative de l'URM qu'une quarantaine de Monsois a pu visiter le siège du Conseil Régional à Lille, en ce 11 décembre 2009.

Un nouveau siège pour de grandes ambitions

C'est en 1999 que fut prise la décision de construire un nouveau siège pour le Conseil Régional du Nord/Pas-de-Calais. Les travaux ont été réalisés entre 2003 et 2008, selon les plans de l'architecte parisien Jean-Michel Wilmotte, sur l'emplacement de l'ancienne "Foire Commerciale".

Bâtiments HQE

Les bâtiments occupent une superficie de 51.000 m², et sont classés H.Q.E. (Haute Qualité Environnementale) : panneaux photo-voltaïques, récupération des eaux de pluie, isolation soignée, etc ... ils bénéficient par ailleurs d'une implantation très favorable, à proximité des autoroutes, du métro, et des gares.

Les locaux sont divisés en deux parties bien distinctes et culminent à 67 mètres: au nord un grand hall d'accueil, la salle des commissions permanentes, l'hémicycle, et la buvette des conseillers régionaux... au sud, les services administratifs. Les deux parties du bâtiment sont reliées par une passerelle sous laquelle passent les véhicules arrivant des autoroutes.

Haute technologie à tous les étages

Dans la salle des commissions permanentes, équipée de tous les équipements technologiques souhaitables, siègent 44 conseillers : le président, 15 vice-présidents, 28 membres représentants les partis politiques. Ils se réunissent 8 à 10 fois par an pour émettre environ 400 délibérations. Ils s'occupent des 200 lycées de la région Nord/Pas-de-Calais, de l'aménagement du territoire, du développement économique, de la formation, des transports, de la santé, etc... une tribune est prévue pour la presse, sur autorisation.

Dans l'hémicycle, équipé également de très haute technologie, siègent le président, le vice-président, le directeur général des services, les conseillers régionaux , les membres du secteur économique et social, etc.

Une tribune est réservée à la presse et il y a une salle de traduction pour les correspondants étrangers. Le public peut assister aux séances, sauf celles des 16, 17 et 18 décembre prochains, consacrées au vote du budget 2011. Les délibérations sont consultables sur internet.

Quelques chiffres

113 : le nombre de conseillers généraux (70 pour le Nord, 43 pour le Pas-de-Calais)

800 à 1000 : le nombre de personnes que les salons de réception peuvent accueillir.

1547 : le nombre de communes de la région dont les noms sont gravés sur les vitres du bâtiment.

1760 : l'effectif administratif qui travaille au siège du conseil régional

Après l'effort...

Le réconfort : la visite s'est terminée autour d'un pot offert au bar des conseillers.
 

Après plus de deux ans de fermeture forcée pour cause d'incendie, le restaurant "chez Hamid", devenu entre temps "Le Méditerranéen" a pu réouvrir. Enfin.

La soirée d'inauguration avait lieu dernier 27 novembre et a permis aux amis, clients, voisins, de découvrir le nouveau restaurant.

Hamid donne a tous une leçon de vie et de courage, à découvrir sur le site de La Voix du Nord.

Souhaitons-lui bonne chance... en allant déjeuner chez lui !

Restaurant Le Méditerranéen
56 bis av Robert Schuman
59370 Mons en Baroeul
Tel 03 20 04 23 17
 

L'amélioration de la circulation des cyclistes dans la ville est un sujet qui devrait en principe rencontrer un large consensus chez nos concitoyens.

L'aménagement des bandes cyclables à contre-sens de la circulation automobile dans certaines de nos rues (ici rue Montesquieu) pose cependant quelques questions.

• son utilité: l'axe Montesquieu est-il un tel axe de circulation de cyclistes qu'il ait paru nécessaire de créer un tel aménagement ?
• sa dangerosité: une bande cyclable en descente dans une rue à forte pente, avec une quille réflechissante pour seul aménagement en bas de piste est-il de nature à améliorer la sécurité au croisement de la rue Parmentier ?

A notre connaissance, il n'y a pas eu de concertation avec les principaux utilisateurs de ces équipements et nous ouvrons nos colonnes pouque les avis des riverains, automobilistes et cyclistes concernés puissent être rendus publics.

Réalisation vraiment utile ou concessison un tant soit peu démagogique aux pratiquants de deux roues... dîtes-nous ce que vous en pensez et faites savoir quels (autres) aménagements vous paraissent utiles.

Vu sur le site "officiel" de la mairie, une offre d'emploi apparemment alléchante. La mairie recrute en effet un(e) "chargé de publication" dont la mission essentielle sera le recensement, la collecte, la rédaction et la mise en ligne des informations publiées sur le site de la ville. Bref une mission d'envergure...

La mariée était trop belle

Après avoir parcouru le détail de l'offre, on s'aperçoit qu'il s'agira d'un CDD d'un an en contrat aidé (Contrat Accompagnement à l'Emploi), à temps partiel (20 heures hebdomadaires "annualisées" "selon les événements locaux"), pour un candidat acceptant en plus d'être disponible le soir et les week-end !

Brrr... si une telle offre émanait d'un employeur privé (forcément ultra libéral et donc peu social !), ne doutons pas qu'il se trouverait de bonnes âmes (municipales) pour s'offusquer des conditions proposées. L'emploi est une denrée rare, certes, mais est-ce une raison suffisante pour un organisme public de se comporter ainsi ?

>> Découvrir le texte de l'offre complet

Les moyens de ses ambitions ?

Les qualités requises pour bénéficier du poste proposé sont celles d'un véritable professionnel maîtrisant des techniques variées. Ses compétences, à la fois techniques et "communication", sont difficiles à trouver et un tel "oiseau rare" mérite à tout le moins un vrai poste avec un vrai salaire, pas un emploi à la petite semaine.

L'amélioration de l'image de marque de la ville est une préoccupation légitime et il est intéressant de voir de quels moyens la mairie entend se doter pour proposer aux monsoises et aux monsois un véritable outil internet fonctionnel et attrayant, un site dont chaque citoyen pourra tirer un véritable bénéfice en terme de qualité de contenus et de services proposés en ligne.

A propos, votre irréductible monsois est toujours alimenté bénévolement par l'équipe de l'URM !

La rédaction de l'Irréductible Monsois est allée à la rencontre d'un correspondant de quartier et lui a proposé de nous parler ce cette mission municipale très particulière.

Rédaction: Daniel Cattelin, vous avez accepté d'être correspondant de quartier dans le nouveau Mons, pouvez-vous nous expliquer en quoi consiste votre mission ?

Daniel Cattelin: en tant que correspondant de quartier, je m'efforce de me tenir au courant des événements qui se déroulent dans mon quartier (fête des voisins, balcons fleuris, animations diverses) et je fais partager aux habitants les informations qui les concernent et qu'il n'auraient pas pu avoir.

R: Vous nous présentez une facette importante qui est l'écoute... mais qu'en est-il de vos relations avec les personnes qui demandent quelque chose aux autorités ou qui râlent sur leurs conditions de vie ?

DC: l'écoute, toujours l'écoute! pour pouvoir faire remonter une demande ou une récrimination de locataires qui ont des soucis, l'écoute est primordiale, elle permet de mieux comprendre et de faire la part des choses.

R: et ensuite ?

DC: quand j'estime qu'une demande est fondée, je plaide sa cause lors des réunions de correspondants de quartier à la mairie et je représente les demandeurs lors des manifestations qui les concernent.

A l'aube de la prochaine campagne pour les élections régionales de 2010, il est impératif de rappeler à nos concitoyens que notre région détient de bien tristes records en matière de fiscalité et d'endettement :

• un taux régional de taxe professionnelle supérieur de 36 % au taux moyen national,
• un taux régional de taxe foncière supérieur de 45 % au taux moyen national.
• une dette par habitant de 350 euros, contre 197 euros en moyenne nationale

Nous sommes donc les derniers en sagesse budgétaire. C'est l'envolée des dépenses de fonctionnement et l'absence de choix entre les priorités qui conduit la majorité PS - Verts à recourir sans cesse à l'impôt !

C'est devenu une tradition à l'URM, nos assemblées sont régulièrement l'occasion d'accueillir une personnalité particulièrement pointue sur un dossier politique d'actualité. C'était encore le cas lors de notre assemblée générale qui s'est tenue le 17 octobre 2009 à la maison des associations et nous avons eu le plasir d'accueillir le sénateur Jean-René Lecerf.

La réforme des collectivités territoriales

La France est championne dans l'art de superposer de nombreuses entités territoriales : plus de 36 000 communes, plusieurs milliers d'établissement publics de coopération intercommunale (les communautés urbaines, communautés d'agglomération, communautés de communes), 100 départements, 22 régions, sans compter les "pays" et les divers syndicats intercommunaux à vocation multiple ou unique (SIVOM et SIVU).

La réforme des collectivités territoriales est un vieux serpent de mer qui a déjà fait couler beaucoup d'encre et entrainé des réactions de résistance de nombreux élus. Tout le monde tombe d'accord pour dire qu'il faut simplifier et clarifier. Lorsqu'il s'agit de décrire les modalités précises et donc trancher dans le vif, les boucliers se lèvent... il y a bien des postes de présidents et les indemnités qui y sont liées qui pourraient disparaître !
Il était plus que temps de découvrir ces réformes à venir car elles vont transformer en profondeur le paysage politique local et, dans la mesure de leur réussite, améliorer le quotidien des citoyens.

Cela aurait pu être un titre de fable, mais autre temps autre moeurs... la dette de LMCU (Lille Métropole Communauté Urbaine) et les emprunts toxiques n'évoque guère que le résultat d'une gestion hasardeuse des finances de la métropole Lilloise.

Un audit accusateur

Le débat est technique et même les habitués des finances publiques ont du mal à retrouver leurs petits. En clair, disons que Lille Métropole s'est largement financée grâce à des emprunts à très haut risques... c'est en tout cas ce qu'affirme un audit publié aujourd'hui par le journal Les Echos.
>>> lire l'article

Qui sont les coupables ?

Matine Aubry se trouve placée en première ligne, même si les mauvaises habitudes ont été acquises durant les mandatures précédentes. Elle accuse aujourd'hui les banquiers et notamment Dexia qu'elle menace de poursuivre en justice. La banque tente de jouer l'apaisement, mais pas certain que cela suffira !

Pression fiscale !

Comme chacun sait, les finances de la communauté urbaine proviennent des contribuables et en ces temps de difficultés économiques, il est certain que ces derniers auront à coeur de savoir comment sont gérées les sommes qu'ils versent. L'URM entend en la matière rester extrêmement vigilante et travaillera, comme à son habitude, à défendre les intérêts des habitants.

Bureau de poste de Mons en Baroeul, en ce matin maussade, une foule immense (au moins 2 personnes) se presse pour participer à la votation destinée à demander aux citoyens s'ils sont favorables à la privatisation de La Poste.

Rétablissons les faits

De quoi s'agit-il exactement ? pour répondre aux exigences de la commission européenne et permettre à La Poste de nouer des partenariats et se développer, l'état français doit modifier son statut et la transformer en société anonyme alors qu'elle était jusqu'à présent un établissement public. Il ne s'agit nullement de privatiser La Poste puisque l'état détiendra la majorité du capital de la société ainsi créée...

Une consultation biaisée

Franchir le pas de la privatisation comme le font les organisateurs du scrutin (sans aucune valeur légale rappelons-le) relève purement et simplement du procés d'intention. On peut émettre des doutes sur leurs intentions. Mais au fait, qui sont-ils ? les syndicats ? ce serait légitime ! non, vous n'y êtes pas : c'est la section locale du Parti Socialiste.

La main dans l'urne ?

Quand on connaît les pratiques récentes prétées au PS dans l'organisation de ses élections internes*, les faits peuvent préter à sourire. En réalité, ils ne nous font pas sourire car ils sont graves et en disent long sur des méthodes qu'on aurait esperé disparues depuis longtemps... un mélange des genres malheureux qui vient jeter une ombre sur un combat légitime.

Défense du service public

L'URM est attachée à la défense des services publics en général et à celui de La Poste en particulier, consciente des missions d'intérêt général qui lui sont confiées.

Il fallait le dire.

* lire à ce sujet le livre Hold-uPS, arnaques et trahisons des journalistes Antonin André et Karim Rissouli ou l'article du journal Le Monde consacré au sujet > lire

Vous le reconnaissez ?

Il s'agit de la toute nouvelle version du site internet de la ville de Mons en baroeul.

Nouveau design, meilleure ergonomie, interactivité renforcée, actualisation plus dynamique... c'est en tous cas ce que le nouveau site annonce dans sa page d'accueil !

l'avis du pro

Une rapide prise en mains par notre spécialiste lui arrache un "pas mal" suivi rapidement d'un "peut mieux faire"... et vous, vous en pensez quoi ?

Comme vous ne pourrez pas donner votre avis d'utilisateur (-trice) directement sur le site de la mairie (cette fonction n'a pas été installée), exprimez-vous sur votre blog favori. C'est aussi cela le web interactif !

La réforme des collectivités locales lancée par le gouvernement est en bonne voie. Concrètement, elle va réduire le nombre d'élus en fusionnant en 2014 les mandats de conseiller régional et de conseiller général (élu du département). Outre l'économie sur les indemnités via la suppression de 2000 élus, cette réforme ouvre la voie à une fusion des départements avec les régions qui permettra la réduction des dépenses grâce à la fin des doublons de responsabilités. Plus concrètement encore, ces économies pourront se traduire en baisse de taxe d'habitation et de taxe foncière.

Dans notre région, où les exécutifs PS-PC sont coutumiers des hausses d'impôts, ce serait une révolution !

Une chose est sûre : ils refusent catégoriquement cette réforme...

Notre Grand Timonier municipal a annoncé aux Monsois, sans ménagement, la disparition du faux bateau de l'avenue Napoléon 1er. Beaucoup se réjouiront de voir disparaître cet hideux monument.

Cette unité monsoise, alors fleuron de la majorité du Capitaine Wolf, avait été lancée en 1980, peu avant que la vague rose de l'Amiral Mitterand ne vienne nous submerger. La mise à l'eau de ce fier bâtiment devait sans doute symboliser la puissance retrouvée de la flotte de gauche et sa capacité à naviguer en eaux troubles... pour un peu, Captain' Marc l'aurait baptisé "Fluctuat nec mergitur", si cette devise n'avait pas été celle de la ville de Paris.

Le bateau ivre

Il est bien difficile de ne pas associer ce disgracieux paquebot en briques et béton à l'image que donne actuellement le Parti Socialiste à ses adhérents médusés et à la majorité présidentielle qui n'en croit pas ses yeux!
Après 30 ans de mer, cette vieille coque délabrée, démâtée, sans gouvernail, est passée sous le commandement d'un capitaine à l'autorité discutée, élu d'extrême justesse et toujours contesté.

Ce capitaine abandonné essaye, tant bien que mal, de tenir le cap malgré la rébellion ouverte d'une partie de son équipage, le refus de ses passagers verts (de peur) de continuer à confier leur destinée à un si vieux et si fragile raffiot. Le bateau fantôme essaye bien de garder le cap et de gagner des eaux plus calmes, avant que des éléments rebelles de son équipage ne la démettent et ne l'abandonnent à la mer.
Le sabordage étant exclu (trop de victimes collatérales), une seule solution pour ce bateau sans avenir, le démantèlement pur et simple.

Socialement et techniquement dépassé

Fin peu glorieuse qui pourrait inciter l'Amiral déjà cité à se retourner dans sa tombe.
Le paquebot du Boulevard Napoléon est arrivé en fin de carrière, socialement et techniquement dépassé, sans autre personnel naviguant que de drôles de marins. C'est tout le PS !

NEMO, ex-capitaine au long court

Deux monsoises réclament l'annulation du permis à vie pour les chauffards

Souvenez-vous : le 21 juin dernier, un jeune monsois trouve la mort dans un accident de voiture provoqué par un chauffard cumulant alcoolémie et vitesse excessive.

Matthieu Dethoor a péri brûlé dans sa Renault Supercinq. Depuis ce jour, sa maman et sa soeur, se battent et réclament une modification législative sur les retraits de permis des chauffards "assassins de la route".

Elle ont lancé une pétition dont le but est d'empêcher que de tels individus puissent un jour remettre la vie d'autrui en danger au volant de leur véhicule.

visiter leur site internet : http://petition.matthieu.free.fr

Billet de (bonne) humeur

La visite de notre ville par le comité des villes fleuries se déroulera le 9 juillet 2009 en fin d'après-midi...

alors, l'aura-t-il sa tulipe ?

Sans anticiper sur les déliberations du jury, félicitations aux jardiniers de la ville qui se donnent beaucoup de mal pour maintenir un environnement de qualité.

Cela bouge dans les associations et si certaines mènent leur monde en bateau, Caramel a choisi de voir du pays à vélo...

La Méridienne Verte

Cette ligne verte -imaginaire- traverse la France du Nord au Sud, de Dunkerque à l'Espagne, céant ainsi une ligne de végétation continue sur plus de 1000 kilomètres.

Caramel

On ne présente plus cette association monsoise qui travaille dans le secteur de la maison de quartier Concorde depuis plus de 10 ans... ce sont quelques uns de ses membres qui vont parcourir la méridienne du nord au sud durant ce mois de juillet... mieux qu'un tour de France, une traversée garantie sans dopage !

Le périple en détail dans La Voix du Nord

Mieux utiliser les équipements existants

Le Président de la République envisagerait, parait-il, de laisser aux collégiens et lycéens français le libre accés aux locaux sportifs et culturels des établissements qu'ils fréquentent, le soir aprés les cours, le week-end, les jours fériés et pendant les vacances.

Projet généreux, comme toujours, mais aléatoire lorsque l'on connait l'opposition systématique qu'il ne manquera pas de encontrer auprés des Conseils régionaux et départementaux gérés par la gauche et le refus catégorique des syndicats d'enseignants toujours si prompts à appeler leurs adhérents à la grève pour un oui ou pour un non.
 

Une dépense inutile

Si, malgré tout, l'idée du Président Sarkozy se réalisait, ce généreux projet permettrait sans aucun doute à notre bonne ville de Mons de réaliser de palpables économies. En effet, l'idée même de la construction de la fameuse et dispendieuse "Salle d'escalade et de sports extrèmes" deviendrait d'un coup, complétement inutile et condamnée, de ce fait, à l'abandon, dusse l'ego de Monsieur Elegeest en pâtir.

Les établissements monsois du second degré possédent tous des locaux sportifs répondant au projet présidentiel. L'un d'entre eux, le Collège Descartes, est même équipé d'un mur d'escalade techniquement bien suffisant pour l'initiation de la jeunesse monsoise à la varappe.
 

Qui veut gagner trois millions ?

Voilà trois millions d'Euros, au bas mot, qui pourraient être consacrés à des fins beaucoup plus bénéfiques à l'ensemble de nos concitoyens plutôt qu'au bénéfice exclusif de quelques amateurs d'escalade dont la plupart, surement, pourraient bien ne pas être monsois.
Mais ce n'est là qu'un rêve. Nous connaissons trop l'attachement que porte le maire à ce projet de prestige qui représente, pour lui, à l'échelle monsoise, ce que la Grande Bibliothèque ou la Pyramide du Louvre ont pu symboliser, en son temps, pour François Mitterrand...

Monsois, Français, Européens...

Avec une participation de 37,67 %, la participation des monsois aux élections européennes égale la participation nationale qui se situe autour de 40 % alors que les Européens ont participé à hauteur de 42,94%.

Notons que ce chiffre n'est pas si mauvais que cela. En 1979, il y avait un taux de participation de 63 %, chiffre qui s'est étiolé au cours des années : 61% (1984), 58% (1989),...45,7% (2004). Même si ce chiffre de 40% paraît faible, remarquons qu'il y a de plus en plus d'européens qui votent car de nouveaux pays sont entrés depuis 1979 ! Qu'on se le dise.

Avec 25,25% des votes, la liste socialiste arrive en tête sur notre bonne ville. Résultat supérieur à la moyenne nationale (16,48%), mais qui reste faible par rapport aux résultats socialistes précédants : Royal (54%) au second tour de l'élection présidentielle de 2002, et Elegeest (73,4%) aux dernières municipales.

Par contre, la liste de la droite et du centre emmenée par Dominique Riquet avec 25,25%, quoique légèrement en retrait par rapport au résultat national (27%), réalise un très bon score dans une ville "de gauche". En effet, notre liste aux dernières municipales avait obtenu 16,37% avec un taux de participation de 53,52%.

Aujourd'hui, nous pouvons dire que nos idées trouvent un écho chez nos citoyens européens monsois. Les deux bureaux de vote du "Vieux Mons" sont redevenus deux bastions UMP-URM. Même la liste des écologistes emmenés par le triumvirat Cohn-Bendit-Joly-Bové devance la liste socialiste sur ces deux bureaux de vote. Une chose est certaine, les idées socialistes en matière d'environnement n'ont pas convaincu les monsois.

Les résultats à Mons en Baroeul ne sont pas uniques. En effet, d'autres bastions socialistes ont vu la liste UMP l'emporter : Dunkerque, Villeneuve d'Ascq.

Certains détracteurs pourront avancer que c'est la faible participation qui a permis une victoire de la droite. Cependant, la principale victime de l'abstention n'est-elle pas le PS ? À Mons comme ailleurs, les citoyens ont sanctionné la campagne menée par le PS : durement antisarkosyste, sans aucune proposition européenne et saupoudrée de démagogie.

Aujourd'hui, c'est à nous de montrer que Mons en Baroeul peut se développer avec l'aide des différents programmes européens qui concernent le développement urbain, le développement commercial et l'accompagnement professionnel et éducatif.

La proximité de Bruxelles (45 min en TGV) doit être déterminante pour les monsois.

Des résultats à garder en mémoire...

Voici les scores obtenus par toutes les listes sur la ville de Mons en Baroeul :

Parti Socialiste : 25,25%

Les grands médias nationaux ont confirmé les bons résultats obtenus par les listes de la majorité présidentielle:

UMP : 28 %

Parti Socialiste : 16.8 %

Ecologistes : 16.28 %

Modem : 8.5 %

On pourra gloser sur les stratégies des 4 grands et remarquer que les bons résultats enregistrés par l'UMP sont le résultat d'une campagne véritablement tournée vers les enjeux européens. Pour les socialistes et le Modem, l'évidence crève les yeux: l'anti-sarkozisme ne peut pas tenir lieu de programme, les électeurs ne s'y trompent pas !

Circonscription Nord-Ouest

Dans notre circonscription (Nord Ouest) ces mêmes listes ont obtenu les résultats suivants :

UMP : 24.22 %

Parti Socialiste : 18.09 %

Europe Ecologie : 12.1 %

Modem : 8.67 %

Des différences certes, mais aussi des confirmations : les "grandes claques" reçues par les socialistes (même dans leur fief !) et le Modem.

Nous obtenons donc 4 élus : Dominique Riquet, Tokia Saïfi, Jean-Paul Gauzes et Pascale Gruny.

Mons en Baroeul

Dans notre ville de Mons en Baroeul, les résultats sont :

UMP : 20.68 %

Parti Socialiste : 25.25 %

Europe Ecologie : 15.63 %

Modem : 9.66 %

Le Parti Socialiste fait un résultat honorable certes mais très en deça de ceux obtenus lors des présidentielles. Avec près de 21%, la droite et le centre réalisent un bon score : l'UMP est désormais devant le PS dans 3 bureaux sur 10. Ce score prouve que les idées gaullistes et démocrates chrétiennes trouvent un écho accru à Mons-en-Baroeul. On remarquera aussi que les litanies très anti-gouvernementales du Modem n'ont pas séduit les Monsois : les partisans de François Bayrou ne recueillent que 9,7 %, soit deux points de moins que lors des européennes de 2004. Le bon score de la liste Europe Ecologie pose question: véritable engouement écologique ou défouloir pour des électeurs qui ont voulu sanctionner les partis traditionnels ?

Les chiffres de la participation sur Mons en Baroeul confirment la difficulté de mobiliser sur les enjeux européens: 37.67 % de participation seulement (avec un minimum de 29 % au bureau de vote Montaigne et un maximum de 49 % au bureau de vote Léo Lagrange). Ces chiffres, faibles, sont proches de la moyenne nationale qui se situe tout juste au dessus de 40 %.

Nous publierons prochainement un compte-rendu plus complet des résultats sur la ville de Mons en Baroeul.

C'est avec une grande tristesse que j'ai appris le décès de Loïc Leserre, survenu le 5 juin, à l'âge de 43 ans.
Loïc Leserre, conseiller municipal d'opposition de Lille, était l'un des pilier de la droite lilloise et un fidèle ami de Christian Decocq. Nous perdons avec lui un personnage de grande qualité, homme de conviction et toujours à l'écoute des autres. Jusqu'au bout, au travers de ses mandats de conseiller municipal et de conseiller communautaire, il aura été au service du Nord, de la France et de la République.

Au nom de l'URM, je présente toutes nos condoléances à sa famille et en particulier à son épouse, Isabelle.

Jérôme Garcia

La ville de Mons en Baroeul est elle attractive ?

Si on se réfère au comportement de certains élus de notre grande voisine lilloise, la réponse est OUI !

La Voix du Nord du 21 mai 2009 nous apprend, sous le titre on ne peut plus évocateur "L'élu local ne dort pas forcément dans la paroisse où il prêche", que de nombreux élus métropolitains ne résident pas dans la ville dans laquelle ils sont élus.

Un exemple parmi d'autres : Martine Filleul, élue socialiste à la mairie de Lille, habite en réalité rue du Général de Gaulle à Mons en Baroeul... qui a dit que Mons en Baroeul n'était pas une ville attractive ?

>>> lire l'article complet

Contexte de crise oblige, le salaire de nos élus apparaît comme un sujet brûlant qui fait vendre.
Pour l'opinion, ce sont des nantis. Mais les élus - aux revenus confortables pour certains, grâce au cumul des mandats - ne sont pas tous logés à la même enseigne.

Le salaire officiel du maire

La Voix du Nord, dans son édition du 6 mai 2009, nous donne un aperçu du palmarès des salaires dressé par le numéro de Mai du magasine "Capital". Nous apprenons ainsi qu'après application de la règle d'écrêtement qui plafonne le salaire de nos élus, les députés-maires de la métropole comme Dominique Baert (PS), Marc-Philippe Daubresse (UMP) et quelques autres arrivent en tête avec 9730 euros.

Nous apprenons aussi que le maire divers gauche de Mons-en-Baroeul arrive juste après avec une rémunération de 7877 euros. Au titre de maire de Mons en Baroeul, Rudy Elegeest perçoit 3377 euros. Chaque maire fixe lui-même sa rémunération en fonction d'une grille préétablie. Plus la ville est grande, plus le salaire est élevé, en raison d'une charge de travail accrue. L'Etat délimite une fourchette de salaire pour éviter les dérives, à charge pour le maire de déterminer lui-même le montant de ses indemnités.

Quand le maire cumule les emplois

Tel un millefeuille, l'empilement des structures laisse perplexe: commune, communauté urbaine, syndicats intercommunaux, conseil régional, le système est relativement complexe mais cela permet de cumuler plusieurs fonctions et plusieurs rémunerations.

Ainsi, M. le Maire reçoit, en sus de son salaire de maire, 1872 euros au titre de vice-président de la Communauté Urbaine de Lille et 2627 euros en tant que conseiller régional. Il est à ce titre membre de le commission du tourisme et celle de l'aménagement du territoire et politique de la ville. Lille Métropole (ex. CUDL) gère des projets communs entre plusieurs communes. En tant que vice-président, il gère globalement les mêmes dossiers, doublant ainsi son salaire sans nécessairement alourdir sa charge de travail. Notons que Monsieur le Maire est en outre vice-président de la mission locale Est, mais aussi enseignant!

Le partage des richesses

Aujourd'hui, les conseillers municipaux monsois sont des bénévoles. Avec 22360 monsois au recensement de 2006, les conseillers ne peuvent bénéficier d'indemnités.

Pourtant, on note que certains sont étudiants ou à la recherche d'un emploi. La loi permet à un maire d'une ville de moins de 100 000 habitants d'octroyer un maximum de 225,15 euros à la condition impérieuse que les indemnités du maire et des adjoints soient diminuées afin de respecter l'enveloppe globale autorisée.

En effet, pourquoi les conseillers municipaux devraient-ils être des bénévoles lorsqu'ils remplissent correctement leur fonction? La gestion de la commune doit-elle accepter de telles disparités ? Le temps passé à travailler pour les monsois serait-il différent en fonction du titre que l'on porte ?

Monsieur le Maire nous donnera peut-être un élément de réponse en augmentant le pouvoir d'achat des conseillers municipaux délégués...

Bureaux de vote : c'est fait !

Encore une fois, l'URM sera représentée dans tous les bureaux de votes de la ville de Mons en Baroeul lors des prochaines élections européennes : 40 volontaires (20 assesseurs et 20 délégués) se relaieront toute la journée du 7 juin dans les bureaux de vote de la ville pour contribuer aux opérations de vote et s'assurer de la régularité du scrutin... il ne reste plus qu'à aller (bien) voter !

Une grosse vingtaine de personnes seulement était présente à la MJC de Mons en Baroeul le 13 mai dernier pour la réunion d'information sur les élections européennes destinée aux 18/25 ans.

Cette réunion était organisée par le Mouvement Européen, association non partisane dont le but est de mieux faire connaître l'Europe aux citoyens.

Parmi les présents, beaucoup de membres du conseil municipal... qui ont dépassé les 25 ans depuis quelques années déjà.

La clarté des explications du jeune intervenant a néanmoins permis de situer les enjeux de cette élection et de faire connaître le rôle du député européen, cet élu méconnu du citoyen. Le parlement européen est bel et bien une institution politique, dont les débats nous concernent... encore faudrait-il que nos journaux et nos télévisions s'y intéressent. C'est la condition pour que le peuple français, grand amateur de débats et de polémiques, participe et s'approprie les enjeux. 
 
L'URM et sés élus soutiennent la liste UMP-Nouveau Centre conduite par Dominique Riquet, le maire de Valenciennes qui s'inscrit dans la dynamique construite à l'occasion de la présidence française de l'Europe
de l'an dernier. La présentation des candidats et du programme figure sur le site www.ump2009.eu
 

A quasiment un mois de l'échéance, dire que les élections européennes mobilisent peu relève de l'euphémisme...

Et pourtant, ce parlement européen que nous devons renouveler conditionne au plus haut point notre vie quotidienne, notre vie de simple citoyen français et aussi notre vie locale.

Une europe qui nous facilite la vie 

Quelques exemples concrets, fort justement relevés par Michel Lecoustre, viennent illustrer ce propos :

• La liberté de circulation
  Pour se déplacer à l'intérieur de l'espace européen et plus exactement à l'intérieur de l'espace Schengen, les citoyens des pays membres de l'union n'ont besoins que de leur carte d'identité... pas d'obligation de présenter un passeport ou un quelconque visa.
   
• La santé
  Puis-je me faire rembourser mes dépenses de santé partout en Europe? La carte européenne d'assurance maladie couvre nos dépenses de santé dans les 27 pays membres. Gratuite, elle s'obtient sur simple demande auprès de votre caisse d'assurance maladie. Le numéro de téléphone d'urgence a lui aussi été uniformisé dans tout l'europe : faites le 112 !
   
• Notre alimentation
  C'est à l'Union Européenne que nous devons la "traçabilité totale" des produits alimentaires qui arrivent dans nos assiettes: l'origine des ingrédients entrant dans leur composition est suivie, ainsi que l'identité des distributeurs.
   
• Les médicaments
  Aucun remède à usage humain ne peut être commercialisé dans un pays de l'Union Européenne sans
  l'autorisation de l'Agence européenne pour l'évaluation des médicaments.
   
• Les normes
  Le marquage "CE" assure la conformité des produits à des exigences de sécurité, de santé, d'environnement et de protecttion du consommateur. Il est obligatoire pour de nombreux
  produits: téléphones, équipements ménagers, extincteurs, jouets, ...
   
• Ma retraite
  Tout citoyen européen peut passer sa retraite et bénéficier de sa pension dans n'importe quel état membre.
   
• Ma voiture
  ou plus exactement le droit de l'utiliser... mon permis de conduire français est reconnu dans les
  26 autres pays de la communauté et me permet de voyager avec le minimum de contrainte.
   

Comme le montrent ces quelques exemples (liste non exhaustive), l'Europe sert aussi à nous faciliter la vie quotidienne.

Elle est aussi présente lorsqu'il s'agit de soutenir tel ou tel grand projet, qu'il soit de nature économique ou à caractère culturel comme par exemple notre événement local Lille 3000 XXL et ses avatars monsois...

Autant de raisons de se mobiliser pour construire cette Europe, héritage commun  de 500 millions de citoyens européens, et qui leur permet d'exister sur le plan mondial.

Clin d'oeil aux monsois amoureux de leur ville

plusieurs de nos grands axes de circulation portent des noms de grands européens. Qu'il s'agisse de Robert Schuman ou de Konrad Adenauer, considérés à juste titre comme des pères fondateurs de l'Europe, ou de Marc Sangnier qui a lui aussi oeuvré pour la réconciliation entre les peuples, sachons leur rendre hommage en étant, pleinement, citoyens européens.

Dans un mois, nous sommes invités à aller voter... alors votons et faisons voter !

Deux réunions sont programmées pour la préparation de ces élections et elle méritent notre participation.
> le 5 mai 2009 à Hellemmes, à l'initiative de l'UMP (voir l'agenda)
> le 13 mai 2009 à la MJC de Mons en Baroeul (voir l'agenda)
 

La première photo du mur d'escalade !

Nous donnons rendez-vous à tous les amateurs d'escalade de la ville au pied du mur, en espérant tout de même que la publication de ce billet n'entraînera pas d'escalade verbale...

Après un long et difficile travail d'investigation, nous avons pu dénicher de nouvelles informations sur le futur mur d'escalade de la ville de Mons en Baroeul. Le traitement de ces informations est en cours et nous serons prochainement en mesure de publier la première photo de ce mur d'escalade qui fait la fierté de notre maire et bientôt celle de toute la ville de Mons en Baroeul...

Vous avez reçu, ou vous allez recevoir dans quelques jours, le numéro 2 de notre bulletin de liaison "L'Irréductible Monsois". Nous espérons que ces quatre pages vous donneront l'envie de mieux nous connaître.

"L'Irréductible Monsois", imprimé ou en ligne, est la voix de l'opposition à la politique de la majorité de gauche au conseil municipal... il est publié par l'URM (Union pour le Renouveau Monsois) qui regroupe les sensibilités de droite et du centre (UMP, FRS, Nouveau Centre, ...) ainsi que des citoyens inscrits dans aucun parti politique et désireux d'oeuvrer pour la ville de Mons en Baroeul.

Alors que le conseil général du nord prépare un hold-up sans précédent en annonçant une hausse spectaculaire de son taux d'imposition, l'opposition monsoise se mobilise pour faire connaître la vérité...

Une opération tract a été organisée par l'URM pour expliquer ce que cache cette nième hausse de la part départementale des impôts locaux et ses conséquences sur votre taxe foncière et votre taxe d'habitation.

Vous pouvez télécharger et diffuser librement le document pour faire connaître la politique du conseil général socialiste du nord.

>>> télécharger le tract 

Monsois, on ne vous dit pas tout...

Souvenez-vous, c'était il y a quelques mois, la mairie rachetait à bon prix (210 000 euros tout de même) une maison de la rue de Bretagne dans le but de la démolir (ainsi que ses deux voisines) pour percer une rue permettant d'aller plus facilement (!) au fort de Mons.

Un projet qui fait quasiment l'unanimité contre lui si on additionne les monsois qui trouvent l'addition salée et les riverains proches... l'un d'eux, dont le logement est aussi promis à la démolition, nous a d'ailleurs confié qu'il n'était pas pressé de mourir et se verrait bien centenaire !

Au train où vont les choses, on n'est pas prêt de la percer cette rue... alors, avant de démolir, on rénove. Le logement serait destiné à un cadre municipal... en voilà au moins un qui sortira gagnant !

Augmentation des impôts par le conseil général

Les Monsois victimes d'un matraquage fiscal intolérable de la part de la majorité socialiste et communiste au conseil général du Nord

Les élus de la droite Monsoise sont scandalisés par la hausse sans précédent des impôts que la majorité PS - PC du Conseil Général du Nord s'apprête à faire voter (La Voix du Nord des 10 et 12 février 2009). Des hausses de 12 à 19% de la taxe professionnelle, de la taxe d'habitation et de la taxe foncière qui font suite aux hausses des années précédentes.
En 4 ans, la part départementale aura augmenté de 32% pour la taxe d'habitation, 39% pour la taxe sur le foncier bâti et de 50% pour la taxe professionnelle ! De ce point de vue, notre département est une exception en France. Encore une fois, ce seront les habitants du Nord et leurs entreprises qui devront payer pour compenser l'incapacité des élus socialo-communistes à surveiller les dépenses. Cet argent ponctionné dans les poches nordistes et Monsoises ne servira même pas à participer à une relance de l'investissement, puisque celui-ci baisse : il alimentera l'inflation continue de dépenses de fonctionnement non maîtrisées dont certaines sont somptuaires.
Nous faisons appel aux élus PS - PC pour leur demander de ne pas voter ce nouveau matraquage fiscal à l'heure où un grand nombre de nos concitoyens souffre des effets de la crise économique.

Jérôme Garcia
Président de l'Union pour le Renouveau Monsois
Conseiller municipal (UMP) de Mons-en-Barœul

 

Lu dans la presse locale (Voix du Nord du 09 février 2009) une très intéressante interview d'Agnés Prud'homme, la présidente du club d'escalade de Villeneuve d'Ascq :

Journaliste : Il a été question d'un déménagement du club à Mons en Baroeul. Qu'en est-il ?

Agnés Prud'homme : je ne préfère pas en parler, c'est un sujet sensible (...) nous sommes bien à Villeneuve d'Ascq et nous sommes, avec la ville, sur un projet de réfection d'un des murs [ndlr: de notre salle d'escalade de Villeneuve d'Ascq].

Avec une salle privée sur Wambrechies, une seconde en cours d'aménagement sur Villeneuve d'Ascq (www.whatsup.fr), la salle du Triolo et une autre sur Ronchin, Lille Métropole ne manque pas d'équipements !

L'intérêt d'implanter une nième salle, cette fois-ci sur Mons en Baroeul, est de moins en moins évident.

A moins que...

à force d'escalade, notre maire voudrait-il nous faire grimper au septième ciel ?

En ces temps agités où même les plus clairvoyants sont facilement troublés, la parole du président est bonne à rappeler et à méditer !

"Vous ne pouvez pas créer la prospérité en décourageant l'épargne.

Vous ne pouvez pas donner la force au faible en affaiblissant le fort.

Vous ne pouvez pas aider le salarié en anéantissant l'employeur.

Vous ne pouvez pas favoriser la fraternité humaine en encourageant la lutte des classes.
Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche.

Vous ne pouvez pas éviter les soucis en dépensant d'avantage que le gain.

Vous ne pouvez pas forger le caractère et le courage en décourageant l'initiative et l'indépendance.

Vous ne pouvez pas aider les hommes continuellement en faisant pour eux ce qu'ils pourraient et devraient faire eux eux-mêmes."

Abraham Lincoln (1809-1865)

Président des Etats Unis

Extrait d'une déclaration au Congrés (1860)

Allez, encore un effort messieurs les politiques, un peu de bon sens et de courage, la réussite est à ce prix !

Après la visite de Mme Christine Boutin, ministre du logement, c'est le deuxième invité d'envergure nationale que l'Union pour le Renouveau Monsois recevait ce 17 janvier 2009, en la personne de Alex Türk, sénateur du Nord et président de la CNIL (Commission Nationale Informatique et Liberté).

Force d'opposition constructive sur Mons en Baroeul, l'URM se réjouit d'avoir pu organiser une rencontre de haute tenue, qui a réuni un auditoire attentif autour d'un conférencier tout à fait passionnant.

La CNIL et ses missions

Créée il y a trente ans, la CNIL est chargée de contrôler la mise en oeuvre des fichiers informatiques et, ce qui constituait à l'époque un domaine bien délimité a pris, avec la montée en puissance des NTIC (nouvelles technologies de l'information et de la communication), une importance cruciale pour qui est sensible à la défense des libertés individuelles...

Comme, il ne nous est pas possible de reprendre ici par le détail l'intégralité des propos tenus, nous vous proposons un rapide survol des thèmes abordés.

Des fichiers de plus en plus nombreux et intrusifs...

La constitution d'un fichier de personne part souvent d'un bon sentiment. Qui s'offusquerait en effet de la création d'un fichier des délinquants sexuels ? mais la dérive est proche quand on ajoute des finalités supplémentaires ou quand on intègre dans ledit fichier les personnes "mises en cause" en plus des personnes condamnées. La ligne blanche est carrément dépassée quand on "oublie" de mettre son fichier à jour et qu'on ne respecte pas le délai légal d'effacement des données personnelles prévu par la loi.

La traçabilité dans l'espace

Non, vous ne révez pas, les personnes physiques sont tracées comme le boeuf qui arrive dans notre assiette... à chaque fois que nous utilisons notre carte bancaire, que nous téléphonons, que nous utilisons un équipement tel qu'un péage, un parking public, un radar automatique (!), une place publique télésurveillée, nous laissons une trace informatique qui permet de nous tracer. Il ne s'agit pas ici de stigmatiser les politiques ou les technologies, mais bien de réflechir à la société qui est la notre et à celle que nous préparons à nos enfants.

Tous ceux qui auront assisté dernier aux voeux de Monsieur le Maire auront été frappés par l'annonce solennelle d'une année exceptionnelle... bigre !

Le froid quasi sibérien qui régnait à l'extérieur n'a pas empéché les heureux invités de se retrouver autour du buffet bio (on est modernes ou on ne l'est pas...) dréssé à l'intérieur de la salle du fort de Mons.

Toute la gauche "bien pensante" était présente et buvait les paroles de notre premier édile qui ne s'est pas privé, comme à son habitude, de distribuer les bons et les mauvais points... peut-être une réminiscence de notre agrégé en économie et ci-devant enseignant !

Bref, nous allons voir ce que nous allons voir et la ville va être transfigurée. Prenons-en acte et rendez-vous à la fin de l'année.

Soyez certain, Monsieur le Maire, que notre vigilance vous accompagnera et que nous saurons dénicher la bonne information pour la faire connaître à tous nos concitoyens.

Nous apprenons le décés de Gilbert Malaria, ce 29 décembre 2008.

Membre actif de l'ADRM puis de Mons Alternative, ancien conseiller municipal durant le mandat 1995-2001, il a été de tous nos combats.

Gaulliste de toujours, Gilbert savait faire partager ses convictions et quelquefois ses colères. Ancien professeur, sa culture historique en faisait un interlocuteur toujours intéressant.

Ses funérailles auront lieu le 2 janvier 2009 en l'église Saint-Pierre de Mons en Baroeul.

C'est avec la publication du blogue de l'Irréductible Monsois que nous vous souhaitons une bonne année 2009.

L'Irréductible Monsois, c'est le bulletin de liaison de l'opposition municipale monsoise... inscrivez-vous pour être tenus informés des nouvelles qui vous concernent et venez réagir sur les billets.

La démocratie Monsoise s'enrichit d'un nouvel espace de liberté et nous sommes fiers d'en être à l'origine...