Le maire de Mons, bon gestionnaire ?
C’est le thème abordé dans notre dernier tract de campagne électorale. Le maire de Mons bénéficie “a priori” d’une réputation de bon gestionnaire… mais les faits sont têtus et cette réputation est largement égratignée quand on regarde la réalité des dossiers monsois.
Qu’il s’agisse d’investissement ou qu’il s’agisse de taxes, la pensée socialiste est en effet omniprésente !
Des dépenses de prestige éloignées des besoins
Une salle d’escalade à 3 millions d’euros, une nouvelle salle Allende pour 7.2 millions d’euros. On aura beau nous annoncer à grand renfort de clairon que les co-financements aura permis de réduire l’ardoise purement monsoise, il faut garder en tête que ces financements extérieurs proviennent tous de la manne fiscale et donc de nos poches de contribuables !
Des budgets qui dérapent
Une grande constante de la politique monsoise est la présentation de budgets sous-estimés pour ne pas effrayer, suivis de rectificatifs pour -au final- arriver à des chiffres scandaleusement plus élevés. Ainsi, le centre technique municipal qui devait coûter 2.6 millions d’euros aura au final coûté plus de 4 millions d’euros. Il est vrai qu’il est équipé de panneaux solaires pour faire plaisir à nos bobos-écolos… mais quand on sait qu’il sont amortis sur 25 ans pour une durée de vie probablement moindre, on croit rêver !
Des taxes anti-pouvoir d’achat
Il en va de même de nos taxes. Même si la ville reste la moins imposée de la métropole lillois -héritage wolfien oblige- on ne peut que regretter le vote d’une taxe sur la consommation finale d’électricité, supportée par tous les ménages.
Et quand nos élus municipaux endossent leurs habits de conseillers communautaires (Lille Métropole Communauté Urbaine), on est obligé de constater qu’ils votent “comme un seul homme” les augmentations continuelles imposées par une mauvaise gestion chronique.